lundi 19 décembre 2016

Pierre Dortiguier L’enseignement de l’ignorance Transcription de l’entretien vidéo

« Les paroles s’envolent, les écrits restent » dit le célèbre adage. Les réflexions - d’une lucidité et d’une acuité terrifiantes - de Pierre Dortiguier sur les cause de la décadence programmée de l’enseignement m’ont semblé tellement importantes que j’ai cru de mon devoir de mettre par écrit les propos qu’il tient dans cet entretien.
Afin de dissiper toute confusion, il s’agit d’un entretien (de 2013 ?) qui dure 13 :50 et diffusé par Egalité et Réconciliation et non pas de l’entretien plus récent, plus long et plus complet accordé par le Professeur Pierre Dortiguier à Factuelle66 dont l’intitulé est: L'enseignement de l'ignorance pour la future tyrannie, disponible ici.






« J’ai vu s’effondrer - quand même, je dois dire, j’avais vingt-sept ans - j’ai vu s’effondrer une civilisation… Quand même… Bon, quand on dit qu’on a cinquante, soixante ans, on dit : « oui mais ça c’est parce qu’il voit le passé »… Nous étions jeunes, à l’époque, mais… On a vu que ce qu’on avait connu hier, on ne le reverrait pas le lendemain.
Je vous donnerai le témoignage d’un de mes professeurs du Lycée Henri IV, qui était le fameux Michard, des manuels Lagarde et Michard. J’avais eu son collègue, c’étaient deux toulousains. Son collègue était à Louis-le-Grand et je l’avais connu à Henri IV, deux ans. Et, au moment de prendre mon poste, donc, en 1969, il me dit : « mon cher Dortiguier, vous savez, ce n’est pas la peine d’aller dans l’enseignement. J’ai été, comme vous le savez, professeur chez vous, j’ai été inspecteur général, et je dois vous dire que tout est fait pour que l’enseignement dépérisse. » Et en effet, toute la discipline qui était formatrice, chez nous, a disparu. Et qu’est-ce-que vous voulez ? S’il faut un tuteur à une plante, si vous enlevez un tuteur, vous le remplacez par un autre. On a enlevé ce tuteur et on ne l’a remplacé par rien, voyez-vous ? Et on a trouvé que, simplement, que la plante allait dans tous les sens. Qu’il y avait évidemment, des bêtes comme par exemple le problème de la drogue, le problème de ceci, le problème de cela. On n’a pas mis cela sur le compte de l’absence de discipline. On l’a mis, cela, sur le compte de l’absence de facteurs, qu’on appelle les facteurs de la vie actuelle. On a mis ça sur le compte de la modernité. Pas vrai du tout.
D’abord, il y a trois points. L’absence de respect des professeurs. On dit souvent : «les professeurs ne sont plus respectés». Oui, mais la véritable raison c’est qu’ils sont de moins en moins bien formés. Vous ne pouvez pas respecter quelqu’un qui n’est pas capable de maîtriser la matière qu’il a sous les yeux. Ce n’est pas possible. Nous avions des professeurs qui étaient véritablement, dans les lycées, même, voyez-vous… Moi j’étais dans le Collège des Jésuites, mais j’ai vu, j’ai voulu avoir l’expérience des lycées. Nous avions des professeurs qui souvent, n’avaient pas de thèse, d’ailleurs. Et ils n’avaient pas de thèse parce qu’ils avaient voulu se mettre au service des étudiants toute leur vie. Je pouvais en citer, et qui étaient d’une très grande force, y compris ceux qui préparaient … ils préparaient aux grandes écoles. J’en ai connu qui préparaient, même, à l’École des Chartes – qui avaient leur thèse, du reste – mais qui étaient certainement beaucoup plus intéressants que ceux que j’ai connu en faculté. C’est-à-dire que les plus forts dans l’enseignement français, se mettaient au service de la première… de la jeunesse adolescente. Et si vous ne formez pas, d’abord, la jeunesse adolescente, ce n’est pas la peine de la traîner ou de l’entraîner dans les universités. Or, après 1968, ça a été la course aux places, voyez ? Nous avons, je dis souvent ces jours-ci, qu’il y avait un livre de 1912, par de Jouvenel, qui s’appelait La République des Camarades. Et bien mes camarades me disaient – je ne peux pas le citer ouvertement – j’en vois… j’en entends un, encore, qui me dit : « Nous, nous avons reçu une éducation, nous avons reçu une instruction, et bien maintenant nous allons en profiter ». C’est ce cynisme-là, voyez-vous, qui a spéculé sur la faiblesse des générations formées après 68, qui est responsable, effectivement, du désastre actuel.
Nous avions, par exemple, plusieurs disciplines, que je vais vous énoncer. Nous avions, par exemple, dans les langues, la pratique du thème. C’est-à-dire, je vous explique, nous avions un texte français et qu’il fallait traduire en espagnol, en anglais, en allemand. Ça impliquait donc la connaissance, d’abord, du français. C’est-à-dire, il fallait d’abord bien entendre ce que l’on lisait pour le traduire. Nous avions… nous ne traduisions pas, comme ça, de but en blanc… Nous avions devant nous, deux heures, trois heures, quatre heures, pour le faire. Nous avions la capacité de travailler en silence. Aujourd’hui, ceux qui veulent chercher le silence sont obligés d’aller en Asie. Ils sont obligés d’aller en Inde d’aller chercher un gourou. Nous, le gourou, nous l’avions directement, au lycée, est-ce que vous voyez – ou au collège… Hmmm ?       
Nous avions aussi des exercices de version. C’est-à-dire, nous restions, moi je me souviens, de cinq heures à sept heures, à l’étude. Nous avions devant nous un texte latin, un texte grec, un texte allemand, moi qui faisais de l’anglais, eh bien nous étions tenus, pendant deux heures, de traduire, en silence, si vous voyez ce que je veux dire… Donc nous étions, si je puis dire, au contact de nous-mêmes… Nous avions chez nous, très peu de dépression, parce que nous nous exercions nous-mêmes. Nous cultivions et nous développions de l’énergie, voyez-vous ? Et cette énergie-là, elle a été discréditée, voyez-vous, dans les années 67-68. Bon, on a commencé par dire que notre instruction était une véritable dictature, qu’il fallait nous émanciper, sur le plan de la sexualité, et cetera… des choses qui étaient des propos séditieux, tenus par Marcuse, que j’ai rencontré, du reste. Un homme froid, impitoyable, un ancien officier, vous le savez, des services du renseignement américain, vous savez cela… Ces gens-là n’avaient que des absurdités en tête. La psychanalyse a fait beaucoup de mal, évidemment, parce que tout ce qui était conscient, tout ce qui était réflexion, était justement, sapé, subversivement, par un appel à l’inconscient que personne n’était capable de vous produire. C’est-à-dire que ça a été, véritablement, une escroquerie. Vous avez des escroqueries aux sub-primes, voyez-vous, et bien là, nous avions des escroqueries au concept. Alors, ceci n’a pas duré, car ça ne pouvait pas durer, mais a introduit d’autres professeurs qui, en classe, qui n’ont plus voulu imposer une discipline, parce qu’ils ne se l’imposaient plus à eux-mêmes. Est-ce que vous voyez ? Nous avions des professeurs qui étaient capables de réciter des tirades entières de Racine, de Corneille, et cetera… Des professeurs qui étaient capables de vous parler d’histoire – écoutez – les mains dans les poches. Moi je me rappelle d’un cours à Henri IV : le professeur a fait tout le Consulat - c’était Monsieur Fourniol – véritablement, les mains derrière le dos, les mains dans le dos. Alors, évidemment, qu’on était admiratif en même temps qu’on comprenait que ce savoir était possible. Parce que le professeur était l’incarnation du savoir. Est-ce que vous voyez ? Aujourd’hui, maintenant, le problème d’incarnation ne se pose plus. Par exemple, dans le monde chrétien, on ne vous dit plus que le Christ s’est incarné. Alors-là … Le Christ est un copain qui jouera au football quand vous serez de l’autre côté, voyez-vous ? Mais ce n’est pas du tout un modèle de vie. La Vierge n’est plus un modèle de femme, voyez-vous ? On ne veut plus de modèles. Et ceux qui ne veulent plus de modèles sont ceux qui veulent, on dit, nous rendre esclaves. Non, nous rendre, disons…  accentuer le caractère informe, le caractère chaotique qui est dans la nature humaine, qui est dans la nature elle-même, mais qui est bien sûr dominé, en général, et nous, on veut que ce soit les forces inférieures qui prennent le pas. Alors comme ces forces inférieures ne peuvent pas, évidemment, disons dominer, elles sont encore plus dépressives. C’est-à-dire que l’on essaie de multiplier les fausses représentations pour qu’en réalité nous nous soumettions aux remèdes qui nous sont offerts. Alors par exemple, aujourd’hui, vous n’avez plus de cours, réellement, vous avez, par exemple, tenez, vous n’avez plus de dissertation, par exemple. Avant, on nous donnait un sujet, je me rappelle d’un sujet que j’avais eu, par exemple : la solitude. Point. Bon, et bien il fallait organiser le thème, pendant trois heures, quatre heures, six heures. Nous avions la capacité, disons, de construire quelque chose en nous, avec beaucoup plus de liberté qu’aujourd’hui. Maintenant, il faut répondre à des questions, comme quand on passe un examen de médecine, il faut cocher. En réalité, ce qu’il faut, c’est montrer qu’on est d’accord avec l’idéologie qui est présentée. Un peu comme quand vous voulez ouvrir une porte : vous avez une clef, bon ben vous essayez une clef, vous essayez l’autre clef, la troisième clef. Bon, le portail s’ouvre, tout le monde rentre, et cetera. Et finalement, ça ne vous intéresse pas de voir ce qu’il y a dedans. Vous prenez ce qu’on vous donne et vous ressortez. Vous n’essayez pas d’habiter la philosophie, d’habiter le savoir. Alors, d’où, évidemment, les fermetures, aujourd’hui, de librairies. Les librairies d’occasion où l’on pouvait trouver une très bonne littérature n’existent plus. Bon, le latin et le grec sont devenus des sciences absolument… des matières… Ecoutez, je peux dire une chose, ce que j’entends, aujourd’hui, expliquer en licence, c’est ce que je faisais quand j’étais en quatrième. C’est-à-dire le niveau a véritablement baissé. Et mes camarades je pense à… bon, je ne nomme pas, mais… qui ont décrit… qui sont devenus socialistes, ils vous disent que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais eux n’ont pas reçu cette éducation. Eux, ils ont vécu, justement, sous l’éducation ancienne. Les révolutionnaires français, par exemple, qui disaient : « à bas les prêtres, à bas ceci, à bas cela » ! Qu’est-ce qu’ils avaient reçu comme éducation, pour apprendre à parler, comme Robespierre, par exemple ?  Ou Danton ? Ils étaient élevés chez les prêtres. Ils étaient élevés religieusement. Or eux, justement, c’est-à-dire, ils disent aux autres : «  ce que nous, nous avons fait, vous, ne le faites pas. Mais nous, nous restons les maîtres parce que nous, nous avons reçu la vraie éducation ». C’est ce qui s’appelle être rebelle, c’est-à-dire que le rebelle c’est celui qui va contre le commandement qu’on lui a donné. Ils ont reçu un commandement, ils ont reçu une instruction, et ils veulent la retourner contre le principe du commandement, le principe de l’instruction. C’est ça, la véritable rébellion. Alors, comme ils ne réussissent pas, évidemment, ils étendent la rébellion. Ils vous disent par exemple : « aujourd’hui, il nous faut dix-mille, vingt-mille, soixante-mille professeurs. Mais, regardez. Je vais vous dire: bien sûr, qu’il nous faut des professeurs ! Mais quelle est la qualité de ce que nous faisons ? La qualité de l’enseignement technique, par exemple, est nulle. Moi j’ai eu des élèves en terminale qui n’étaient pas capables d’être en terminale, qui savaient à peine écrire, à peine lire. Vous les faisiez lire, au bout de dix lignes, la personne s’écroulait, exactement comme si elle  avait bu un demi-litre d’alcool… Ça, ce n’est pas possible. Alors, je crois que ce qui a contribué à la perte de l’enseignement, c’est l’abandon des disciplines traditionnelles, qui avaient été, disons, forgées, essentiellement aux XVIIe, XVIIIe siècles, par les Pères Jésuites ou par d’autres, par les protestants, et cetera, en Allemagne, surtout, et qui avaient, vraiment, fourni des résultats. J’ai été pendant de nombreuses années, lecteur à la bibliothèque de l’Ecole Normale Supérieure, rue d’Ulm. Ecoutez, quand je voyais ce qu’écrivaient par exemple, pour reparler de l’allemand, ce qui était écrit dans les revues de philosophie allemande, même relativement à ce qui était écrit à la même époque chez nous, on voyait la différence. Pourquoi ? Parce que dans les universités allemandes, en classe – ça se faisait chez nous, mais là-bas, c’était plus répandu – vous aviez l’obligation d’écrire une dissertation en latin. Des gens qui devaient être des notaires, dans la vie, il y avait de gens qui devaient être des ingénieurs, avaient fait cet exercice. C’est un exercice intellectuel. Pourquoi le faisaient-ils ou pourquoi pouvaient-ils le faire ? Parce que le professeur, devant eux, le faisait. Mais aujourd’hui, le professeur n’est pas capable de le faire. Le professeur n’est pas capable de traduire un livre ouvert. Quand vous avez ce qui est l’instruction, ce n’est pas l’imitation. Simplement, vous ne pouvez pas imiter quelqu’un. Mais vous pouvez avoir l’idéal du modèle qui est devant vous. Vous vous dites : « je vois mon professeur qui se débrouille là-dessus, alors, donc, moi je peux aussi faire quelque chose. Non ! Le professeur, aujourd’hui, ce qu’il veut, c’est avoir la paix avec son administration, c’est-à-dire avoir autant de bonnes notes que possible. Par exemple, j’ai un de mes élèves, qui me met Victor Hugo au XVIIe siècle, bon, et bien, il a quand même eu une mention au baccalauréat. Ça veut dire, donc, qu’il a obtenu, si je puis dire, le succès dans le désordre. Il n’est pas capable, bien sûr, de faire une seule dissertation. Il n’est pas capable de faire une version. Il est capable de répondre à des questions, c’est-à-dire qu’il a été trompé. C’est cette absence de formation, c’est ce goût, aussi, des demi-vérités. C’est-à-dire qu’on ne vous donne pas réellement la chose à saisir entre les mains, en mesurant la densité de la chose, en mesurant la difficulté. Quand nous étions obligés de travailler pendant des heures en silence, nous mesurions d’abord la difficulté de ce que nous avions à faire. C’est-à-dire nous apprenions à – non pas vaincre la difficulté – mais à l’affronter. Je dirais même à la subir. Une fois que vous l’avez subie, vous réagissez. Mais si vous ignorez qu’une difficulté existe, vous avez l’illusion de savoir. Vous développez, en réalité, de l’orgueil. Le type qui dit : « Bon, ben, écoutez. Moi, j’ai une mention au bac et puis toi, je te regarde… » C’est ainsi que nous avons des universités qui sont de moins en moins compétitives. Je dois dire que du point de vue de l’enseignement, je compare, en francophonie - je ne connais pas le Québec- mais je compare avec la Belgique, par exemple. Bon, il est certain que sur le plan philosophique, l’Université Philosophique de Louvain nous dépassait. Evidemment, elle nous dépassait parce qu’elle était encore plus exigeante que nous, sur ce plan. Alors vous imaginez aujourd’hui ! Evidemment ! Je crois que le problème de la France c’est de réformer les maîtres. Et tant qu’il n’y aura pas une réforme des maîtres, les élèves, qu’ils soient quarante ou trente dans une classe, ou vingt, la chose ne changera pas. C’est une difficulté. Mais ce qui est terrible, ce n’est pas d’être quarante, trente ou vingt ou quatre-vingt. C’est le fait d’être trente, quarante ou quatre-vingt devant quelqu’un qui n’est pas-même un maître. C’est cela que je veux dire. Et oui ! Et cela, la question n’est pas posée. Et comme on dit, la conscience la pose, là. »   


Propos retranscrits et mis en forme par André.



mardi 13 décembre 2016

Une Vie Plus Simple une vidéo de Varg Vikernes

Ce qui suit est la retranscription des propos de Varg Vikernes dans une vidéo de 2014, disponible sur YouTube, (dans la langue de Shakespeare) ici. Ce discours simple mais évocateur m’a semblé si important que j’ai cru bon de le partager avec quiconque se sent concerné. Le voici donc retranscrit dans la langue de Molière. Il est possible que quelques erreurs m’aient échappé, mais bon, le voilà, quand même ! Il est tout particulièrement dédié à mon ami Yann Le Caron.

« Aujourd’hui, nous vivons dans d’impitoyables dictatures, quelquefois déguisées en prétendues démocraties et, pour renforcer leur mainmise sur le pouvoir, ceux en place qui l'exercent, projettent de détruire nos sociétés  par tous les moyens. Oui, rien de moins. Il leur faut détruire nos sociétés pour avoir le prétexte dont ils ont besoin pour mettre en application la loi martiale et se débarrasser de toute opposition définitivement. Ils veulent que les musulmans entrent en conflit avec les chrétiens. Ils veulent que les communistes se battent contre les nationalistes. Ils veulent que les hommes et femmes de familles traditionnelles s’opposent aux homosexuels et aux féministes. Ils veulent que tous les éléments de la société se rentrent dedans, les uns contre les autres, frontalement, violemment, brutalement, de manière aussi sanglante et chaotique que possible. Ils veulent que le monde entier ressemble à la Syrie d’aujourd’hui. Une Syrie qu’ils ont détruite avec leurs mercenaires. Ils veulent la guerre civile dans chaque pays de cette planète. Mesdames et Messieurs, la Syrie est un avant-goût de ce qui nous attend, de ce qu’ils ont en réserve, pour nous tous. Ils contrôlent les medias traditionnels et le système éducatif, et les utilisent pour nous farcir la tête de mensonges. Ils contrôlent les banques et s’en servent pour nous asservir. Ils contrôlent l’industrie de consommation et s’en servent pour nous corrompre. Ils contrôlent l’industrie pharmaceutique et s’en servent pour nous empoisonner. Ils contrôlent Hollywood et s’en servent pour nous laver le cerveau. Ils contrôlent nos politiciens et gouvernements et s’en servent pour détruire nos cultures et nos sociétés. Ils contrôlent les prétendus  “terroristes musulmans” et s’en servent pour nous faire croire de manière erronée que l’Islam représente une menace tellement  importante pour nous tous. Ils contrôlent l’industrie alimentaire et s’en servent pour nous empoisonner. Ils contrôlent les Etats-Unis et s’en servent comme de leur homme de main. Ils contrôlent l’Union Européenne, ils contrôlent la Chine, ils contrôlent la Russie. Ils croient qu’ils contrôlent tout, mais ce n’est pas vrai. “Celui qui est maître chez lui est maître de sa vie.” Tout ce dont nous avons besoin pour les dépouiller de leur pouvoir c’est de ne pas faire attention à leurs medias, d’éduquer nos enfants nous-mêmes, à la maison, d’arrêter d’utiliser leurs banques, d’arrêter de consommer comme nous le faisons aujourd’hui. [D’arrêter] de se servir de la médecine comme ils le voudraient, d’arrêter de regarder des films et des séries produits par Hollywood, de ne pas voter pour leurs politiciens, de dire aux musulmans que nous savons qu’ils ne sont pas les terroristes, et leur faire savoir que nous avons un ennemi commun. De produire notre propre nourriture, de creuser nos propres puits, et, chose peut-être encore plus importante, de baisser notre niveau de vie. Au lieu d’essayer d’avoir assez d’argent pour acheter notre propre liberté, nous devrions, à la place, comprendre que nous ne pouvons vivre libres qu’avec seulement peu d’argent. Nous ne sommes libres que si nous baissons notre standard de vie et c’est ce que nous devrions faire, de toute façon. La façon dont nous vivons, ici, en occident, n’est ni saine ni possible sur le long terme. Retournez à une vie plus simple et leur pouvoir s’écroulera, et ils chuteront, encore, comme ils l’ont fait tellement de fois par le passé. Retournez à une vie plus simple et vous verrez qu’au-delà des voitures de luxe et des habits à la mode, que derrière les célébrités superficielles, les maisons tape-à-l’œil et les tonnes de maquillage, la vie a vraiment un sens. Derrière tous ces mensonges, ils y a un puits de sagesse, profond, auquel nous pouvons tous nous abreuver et devenir plus sages, plus sains et plus heureux. »



dimanche 22 mai 2016

L’état de l’égyptologie par Moustafa Gadalla

Moustafa Gadalla est un égyptologue indépendant, né au Caire en 1944.
Titulaire d’une licence en sciences de l'université du Caire en tant qu’ingénieur civil, Mr Gadalla est l’auteur de vingt-deux ouvrages - publiés et reconnus internationalement - concernant les divers aspects de l’histoire et la civilisation de l’ancienne Égypte et ses influences à travers le monde. Il a plusieurs autres livres passionnants et une série de vidéos en attente de publication prochaine.
Il est le Fondateur et le Président de la Tehuti Research Foundation (www.egypt-tehuti.org) - association internationale à but non lucratif  dont le siège est aux USA, et qui se consacre à l’étude de l’Ancienne Égypte. Il dirige également l’Université Mystique Égyptienne en ligne (www.EgyptianMysticalUniversity.org), qu’il a fondé.

Depuis son enfance, Mr Gadalla poursuit avec passion la recherche de ses racines égyptiennes, par ses études continues et ses recherches. Depuis 1990 il consacre tout son temps à ses travaux de recherche et à ses écrits.


Ce qui suit est une traduction d'un article dont le titre original est:

The State of Egyptology et qu'on peut lire ici:




L’état de l’égyptologie
Avec des amis comme ceux-ci…
J’ai un petit rire ironique quand on classifie mes écrits sous le label ‘‘en dehors de l’égyptologie traditionnelle’’. La prétendue égyptologie traditionnelle est aux mains de non-égyptiens autoproclamés,  qui sont les restes de l’Époque Coloniale. Les pays européens qui colonisèrent le monde rapportèrent en Europe le butin de leur pillage. Leur pays d’origine avait et a toujours l’impression qu’ils ont le monopole sur l’écriture de l’histoire de leurs colonies. Les égyptologues académiques autoproclamés sont en réalité constitués d’employés qui dressent des inventaires et le catalogue du butin de l’Ancienne Égypte.

Bika Reed a écrit dans Rebel in the Soul: a sacred text of ancient Egypt (Rebelle dans l’âme: un texte sacré de l’Égypte Ancienne),

‘‘Il est étrange qu’un langage si simple et si évocateur que l’ancien égyptien soit maintenu dans l’obscurité par l’instrument même de sa redécouverte, l’égyptologue. Même s’il est académiquement érudit, et brillant dans son analyse, quelqu’un qui croit que l’Égypte ancienne était une société primitive, incapable de pensée abstraite, pourra-t-il transmettre au lecteur moderne sa sagesse ? Comme un chirurgien, qui, à la recherche de l’âme de son patient à l’aide de son scalpel, déclare qu’il n’y a pas d’âme dans l’homme, l’esprit analytique, penche sur un papyrus, avec le scalpel grammatical, s’écrie « Il n’y a pas de philosophie en Égypte ! » Pour une telle mentalité, le voyage de la Barque Solaire n’est que rêverie païenne. Pourtant, leur réalité objective serait une chimère pour les sages de l’Égypte. C’est comme si on nommait un somnambule pour juger ceux qui sont éveillés.’’

Les égyptologues académiques gagnent leur vie en rabaissant les Égyptiens et leurs croyances. L’arène de l’égyptologie est infestée par ceux dont la seule préoccupation est de détruire la crédibilité de l’ancienne Égypte. De manière typique, ce sont des agneaux déguisés en loups.

Comment pouvez-vous espérer apprendre quelque chose au sujet des anciens Égyptiens de la part du doyen de l’égyptologie académique, à savoir Alan Gardiner, qui écrit dans son livre l’Égypte des Pharaons, ‘‘Ce qu’on promeut fièrement comme histoire égyptienne n’est qu’un ramassis de loques en lambeaux’’. Gardiner et ses copains ont autant d’intérêt pour l’Égypte ancienne qu’un violeur (‘‘intéressé’’ par la femme qu’il viole) ou un pédocriminel (qui ‘‘aime’’ vraiment l’enfant).

En ce qui concerne l’ancienne Égypte, pratiquement tous les auteurs ont du mépris et de la jalousie pour cette grande civilisation. Ces écrivains plein de mépris vont attribuer tout le mérite pour chaque réalisation à d’autres, par exemple, les anciens Égyptiens ont reçu ceci de Mésopotamie, cela des Assyriens, ceci des Hébreux et cela des Hyksos,… et oui, bien sûr, les plus grandes réalisations ne pouvaient être l’œuvre de personne d’autre que les Européens, par le biais: 
-     Soit de la Période Romaine des Ptoléméens
-     Soit des Atlantes imaginaires.

Pourtant, ce n’est pas encore le plus grave problème. Ces écrivains méprisants, alors qu’ils décrivent l’Égypte comme une passoire par laquelle transitèrent les réalisations des autres dans leur pays, insistent que l’Égypte ancienne était une société rigide, sans imagination et conservatrice.

Le problème n’est pas que ces gens aient des (deux) points de vue différents. C’est que ces mêmes personnes utilisent deux points de vue contradictoires simultanément.

Pour tous ces gens, passés maîtres dans l’art du double et du triple langage - je dis ‘‘Avec des amis comme ceux-ci, l’Egypte n’a pas besoin d’ennemis’’.

La Recherche de la vérité

Comme un étudiant en histoire ou un lecteur, on découvre qu’il y a autant de points de vue que de livres. Avec autant de points de vue différents on peut se demander quel ‘‘expert’’ ou quel ‘‘spécialiste’’ croire et pourquoi leurs points de vue sont si différents. La triste vérité est que la plupart des questions polémiques pourraient être résolues entre ‘‘spécialistes’’ s’ils prenaient seulement la peine d’examiner les preuves présentées par la partie adverse.

Certaines personnes réagissent aux interprétations historiques qui sont en conflit avec ce qu’ils ont toujours pensé et ce qu’ils ont appris, en traitant l’auteur de révisionniste. Ils s’entêtent a vivre dans leur mensonge. Refuser d’écouter un point de vue opposé est un aveu de faiblesse, pas un signe de force. Ces gens rejettent une grande quantité d’informations et aussi des possibilités de grandir intellectuellement, spirituellement en pratiquant la politique de l’autruche. 

Les sources les plus importantes des livres d’histoire actuellement disponibles sont européennes et celles de leurs descendants pour les autres continents. Il y a environ 500 ans, les européens se mirent à conquérir le vaste monde en colonisant tous les pays alentour. En tant que seule force de domination du monde, la diffusion de la connaissance (y compris l’histoire du monde) était entièrement sous leur contrôle.

Lorsque la colonisation prit fin au 20e siècle, beaucoup de gens commencèrent à remettre en question ce qu’ils avaient appris pendant si longtemps. Une telle remise en question déstabilisa ceux qui veulent continuer à éprouver un sentiment de supériorité envers les autres. Ils inventèrent le terme révisionnisme. Ils accusèrent également les nouvelles interprétations de l’histoire de n’être rien de plus que les faits, qui ont été manipulés par l’auteur et l’écriture de l’histoire alternative de n’être que simplement le récit personnel de l’auteur.

Comment savoir qui dit la vérité ? Ne devons-nous lire que les gens qui sont d’accord avec nos idées, nos penchants, nos préjugés ? 
Cela ne devrait pourtant pas être bien difficile d’établir la crédibilité d’un livre ou des extraits de ce livre, en adoptant la position d’un juré impartial dans la salle d’audience d’un tribunal.

Personne d’entre nous n’était en Égypte ou ailleurs, au moment des faits, dans le passé. (On voudra bien pour l’instant laisser de côté la réincarnation et nos vies antérieures.) Donc, on ne sait pas, de façon certaine, quels sont les faits. La même  chose se passe tous les jours dans des cours de justice tous les jours et partout. Dans la salle d’audience, les jures, les juges s’asseyent, écoutent et délibèrent à propos d’événements auxquels ils n’ont pas assisté directement. Ils écoutent la partie adverse, qui doit défendre son cas, selon les Règles de l’Administration des Preuves, qui incluent, entre autres :
1.  Les preuves devront être présentées de façon claire. Les preuves directes (taches de sang, empreintes digitales, etc…) auront plus de valeur que les témoignages oculaires.
2.  Le ouï-dire n’est pas recevable.  
3.  Les points de vue personnels ne sont pas considérés comme preuves et sont toujours considérés à part des faits du dossier.

Ce n’est pas parce que vous n’êtes pas un ‘‘expert’’ dans un domaine particulier que vous devez accepter ou que vous devez vous laisser intimider par les autres soi-disant ‘‘experts’’. Que la logique, la raison et l’absence de préjugés vous conduisent à la vérité. Alors que nous pataugeons au milieu de toutes ces opinions, n’oublions pas les mots de Sir William Osler : ‘‘Plus l’ignorance est grande, plus grand est le dogmatisme !’’

Donc, vous (et moi) devrions examiner les livres d’histoire avec attention, de la même manière qu’un juré/un juge d’instruction dans un tribunal. On ne devrait jamais être intimidé par un nom célèbre ou un titre ronflant. Rien que les faits et les preuves.

Nous ne devrions pas permettre à un groupe de personnes (ces académiciens) de nous mener par le bout du nez. Nous devrions plutôt nous inspirer de l’histoire des Habits neufs de l'Empereur, que quoi que les ‘‘sages’’ disaient à propos des vêtements de l’Empereur, il était nu. De la même manière, nous devrions rejeter les tactiques d’exclusion de l’académie et insister pour qu’ils prouvent ce qu’ils avancent au lieu de se baser sur des références antérieures pré-approuvées.

Moustafa Gadalla


dimanche 27 mars 2016

Le secret des fibules romaines par Alain Beydts

Chercheur indépendant, passionné d’archéologie, de photographie et bien d’autres choses, esprit ouvert s’il en est, Alain Beydts – connu également sous le nom d’Alain Taferdouste – étudie depuis un certain temps les fibules – ces agrafes métalliques ayant pour fonction d’attacher les parties d’un vêtement. La symbolique qu’elles recèlent semble être plus complexe qu’il n’y parait de prime abord. 

Ainsi que nous l’explique le chercheur : « Sous une apparente profusion de modèles différents de fibules, se cachent en fait seulement quelques éléments récurrents, qui sont des codes symboliques ».

Donc, à la lumière d’une nouvelle lecture de leurs formes et compositions, cette symbolique nous est présentée, expliquée et commentée par l’auteur de ces travaux.
Bien entendu, les points soulevés par Alain Beydts sont tellement importants que les « gardiens du temple » (comprendre les tenants de la doxa dominante dans le milieu « scientifique ») lèvent leurs boucliers et balaient d’un revers de main tout ce qui contredirait les dogmes établis… Ils qualifient ces nouvelles pistes de « lubies » sans pour autant faire montre de probité intellectuelle en argumentant le moins du monde… On ne s’abaisserait pas à porter la contradiction, on dénigre, on diffame…Comme c’est commode ! Un peu, pour prendre un autre exemple tristement connu, comme les « égyptologues » qualifiant de « pyramidiots » tous ceux qui contestent la croyance que les pyramides furent construites pour servir de tombeaux aux rois égyptiens…

Heureusement, même dans le milieu scientifique « officiel », certains font preuve d’ouverture d’esprit et les mentalités semblent évoluer dans le bon sens…

Quoi qu’il en soit, les travaux de recherche d’Alain Beydts m’ont paru tellement importants que j’ai décidé de regrouper sous cet article, les différentes sources disponibles dans un souci de commodité, à savoir : une série de plusieurs vidéos, disponibles sur sa chaîne YouTube  ainsi que quatre essais disponibles sur sa page du site spécialisé Academia.

J’espère que comme moi, qui n’y connaissais- jusqu’à présent -  absolument rien, vous trouverez ses travaux passionnants. Bonne lecture et bon visionnage !
André  

Un article de base pour commencer avec les fibules :
Les vidéos, dans l’ordre chronologique de leur mise en ligne :

1 - Le secret des fibules: nouvelle lecture; de la 2D à la 3D : Nov 11, 2013


3 - Le secret des fibules: nouvelle lecture; l'élément "Ciel": Nov 17, 2013




4 - Le secret des fibules: nouvelle lecture; l'élément "EAU": Nov 20, 2013


5 - Le secret des fibules: nouvelle lecture; l'élément "Terre". Dec 1, 2013


6 - Le secret des fibules: nouvelle lecture; les éléments "AIR" et "FEU". Jan 5, 2014


2 - Le secret des fibules: nouvelle lecture; La Tortue allias Tartaros, les Enfers. May 17, 2014


1 a - Le secret des fibules ; la Tetraktys et les "codes points". Jul 30, 2014


Les publications sur Academia:






jeudi 10 mars 2016

Traduction française de : L’Antéchrist par le Dr George Carey - Première Partie






George Washington Carey (1845–1924) était un docteur américain connu pour un certain nombre de parutions,  dans les années 1910, intitulées «la chimie de la vie», sujet qu’il appelait biochimie. Toutes ces publications mêlent religion, astrologie, physiologie, anatomie et chimie, mais particulièrement  La Chimie de la Vie Humaine, paru en 1919, a pour thème une théorie basée sur l’origine minérale des maladies humaines…
… Dans le contexte d’une personne considérée comme une «molécule humaine», Carey fut le premier à déclarer que le corps d’une personne est une «formule chimique à l’œuvre».

Extrait de sa fiche Wikipédia non traduite en français, comme toutes ses œuvres.

https://en.wikipedia.org/wiki/George_W._Carey


Première Partie

       Les premiers chrétiens, les Esséniens, réalisèrent pleinement et enseignèrent la grande vérité selon laquelle Christ est une substance, une huile ou un onguent, contenue dans la moelle épinière, et en conséquence, dans toutes les parties du corps, comme chaque nerf est connecté directement ou indirectement, à la merveilleuse ‘‘Rivière qui coule en dehors de l’Eden (le cerveau supérieur) pour arroser le jardin.’’                                     
       Les Chrétiens du début savaient que les Ecritures, soit en ancien hébreu ou soit en grec, étaient des allégories, des paraboles, des fables ayant pour base le corps humain ‘‘fait de manière terrible et merveilleuse.’’
       Ces adeptes savaient que  la sécrétion (matière grise- créative) qui sort (est sécrétée) par le cerveau (télencéphale), était la source et cause de l’expression physique que l’on appelle homme ; et ils savaient que la ‘‘Rivière du Jourdain’’ était symbolisée dans la moelle épinière et que la ‘‘Mer Morte’’ était utilisée pour symboliser  le Plexus Sacré à la base de l’épine dorsale où le Jourdain (la moelle épinière) se termine, caractérisant l’entrée du Jourdain dans le Mer Morte.
       L’épaisse substance huileuse et salée composant le Plexus Sacré,  ‘‘Cauda Equina’’, (la queue du cheval) peut être comparée à du pétrole brut , (Petra : minéral ou sel, et oleum- latin pour huile) et la substance, l’huile ou onguent moins visqueuse de la moelle épinière peut être comparée à de l’huile de houille; et quand cette huile est transportée et croise l’Ida et le Pingala deux nerfs fluides (canaux subtils ou nadis) qui se terminent en forme de croix dans la  moelle allongée (aussi appelée bulbe rachidien), là où elle entre en contact avec le cervelet (Golgotha, le lieu du crâne), ce fluide est raffiné, comme le goudron de houille est raffiné pour produire la gazoline – un taux de mouvement plus élevé, qui crée l’ascension du ballon.
       Lorsque l’huile (l’onguent) est crucifiée – (crucifier signifie accroitre en puissance un millier de fois – et non pas mettre à mort), elle demeure deux jours et demi (la durée de la période lunaire dans un signe) dans la tombe (cervelet) et au troisième jour monte à la glande pinéale qui relie le cervelet à l’optique thalamus, l’œil central dans le Trône de Dieu qui est la chambre couverte par le creux, l’évidement (sacré) causé par la courbe du cerveau (le Très Haut du corps ) qui est le ‘‘Temple du Dieu Vivant’’, la substance vitale, substance de vie, qui est une précipitation du ‘‘souffle de vie’’ insufflé en l’homme, et par conséquent, le Saint (entier) Esprit ou souffle.
       La Glande Pinéale est le ‘‘Pinacle du Temple.’’  Le mode opératoire par lequel l’huile de la moelle épinière atteint la glande pinéale est décrit dans la deuxième partie ci-après.

samedi 13 février 2016

La Révélation des Pyramides : Ecrivons Ensemble la Suite de l’Histoire

Le lien ci-dessous, provenant du Forum officiel de La Révélation des Pyramides vous donnera toutes les informations au sujet du projet participatif de financement des prochains épisodes des films de Jacques Grimault et Patrice Pooyard.

http://www.larevelationdespyramides-leforum.com/viewtopic.php?f=10&t=2845

Professeur Pierre Dortiguier - La Maçonnerie en Europe

Encore une formidable conférence filmée du Professeur Dortiguier, au style inimitable. Beaucoup d’information, parfois délivrée rapidement, parfois nonchalamment, toujours avec beaucoup d’humour. Il convient d’être attentif afin de n’en point manquer une miette !


Professeur Pierre Dortiguier - Mythes et Vérités sur l'Enseignement - video en 3 parties

Conférencier passionnant que j’apprécie beaucoup, le Professeur Dortiguier se montre particulièrement facétieux lors de cette conférence, filmée à Ille sur Têt  à l’invitation de Factuelle 66. Le Professeur Dortiguier plaisante beaucoup, fait des apartés, digresse, mais pour peu qu’on fasse l’effort de le suivre, le temps passe plutôt vite. La conférence est en trois parties d’une heure quinze environ chacune. Un puits de science à écouter et à lire maintenant.

Partie 1


Partie 2



Partie 3


vendredi 12 février 2016

Philippe Ploncard d'Assac - Complot mondial contre les Nations et leurs peuples ?

Deuxième conférence de Mr. Philippe Ploncard d'Assac, dont le sujet est Complot mondial contre les Nations et leurs peuples ? Comme la première, elle est en deux volets: conférence et questions-réponses.


Partie 1



Partie 2