samedi 24 octobre 2015

Le racisme, angoisse du dernier homme

Par Claude Bourrinet

Vu sur le blog d’Alain Benajam :




La question de l' « identité » a surgi au moment où elle n'allait plus de soi. Dans le monde traditionnel, on ne se demande pas qui l'on est, tellement l'existence baigne dans une évidence ontologique. L'on agit comme l'on est. Il a fallu le déracinement moderne, initié dès la fin du « moyen-âge », et la déréalisation actuelle du monde, miné par la confusion généralisée des mots et des choses, pour que revînt en surface des convictions identitaires chargées de redoutables menaces.


L’article en entier se trouve là :

mercredi 21 octobre 2015

Bouddhanar: Un légume vert gratuit et excellent pour la santé

Bouddhanar: Un légume vert gratuit et excellent pour la santé: Dans son ermitage himalayen, Milarépa ne se nourrissait que de ce légume. C'est pour cette raison que le célèbre ascète tibétain ...

dimanche 18 octobre 2015

Bouddhanar: Les goulags spirituels du 3ème millénaire

Bouddhanar: Les goulags spirituels du 3ème millénaire: BOUDDHAHRIMAN C hristian Lazaridès invite ses lecteurs à se livrer à une véritable investigation dans le domaine spirituel. &quot...

vendredi 16 octobre 2015

Bouddhanar: Philippe Verdier & « l'interdiction de toute pensé...

Bouddhanar: Philippe Verdier & « l'interdiction de toute pensé...: P hilippe Verdier a-t-il été écarté de l'antenne après son livre sur le climat et sa lettre ouverte à François Hollande ? Le mon...

Avez-vous déjà tenté l’expérience du riz?

Un article de Claire De Brabander


Avez-vous déjà tenté l’expérience du riz? Vous en avez peut-être déjà entendu parler si vous êtes un peu familiarisé avec le concept de « la mémoire de l’eau » introduit par le Professeur Emoto.
Voici tout d’abord quelques informations qui sous-tendent cette expérience.

Le Professeur Emoto s’est fait connaître par ses livres, ses expériences et ses photos et vidéos concernant « la mémoire de l’eau ». Sur base d’échantillons d’eau congelée, il a réussi à photographier les cristaux formés par l’eau. Et selon la qualité, la provenance, et « les messages » reçus par l’eau, la présence et la qualité des cristaux diffère totalement.

L’eau du robinet ne forme pratiquement jamais de cristaux alors que l’eau naturelle (de source) en forme presque toujours.
Mais le plus étonnant est apparu lorsqu’il a écrit sur les bouteilles d’eau des messages positifs ou négatifs (il a expérimenté plusieurs langues), et qu’il a pu voir l’influence de ceux-ci sur l’apparition et la qualité des cristaux, les mots « amour » et « gratitude » donnant les plus beaux cristaux, distincts selon la langue utilisée. Il a étudié l’effet sur l’eau de prières, de la musique, des micro-ondes, ou encore d’autres influences. Il publie les photos obtenues dans ses livres ou sur le net.

Or le corps humain adulte est composé à 70% d’eau, tout comme les aliments que nous assimilons en contiennent un part très importante.

S’il est possible d’influencer la qualité de l’eau par des messages, des intentions, de la musique, l’absence de micro-onde; cette influence concerne tout autant nos aliments, notre corps, ainsi que l’effet de certaines de nos pensées et de nos actes sur nous-même, notre entourage et notre environnement.

Fait important, dans l’expérience expliquée ci-après, il a été mis en évidence qu’une influence négative est moins nocive que de l’indifférence.


Alors en quoi consiste cette « expérience du riz » ?

La suite c’est par là :


Soutien à la rébellion du Donbass: un blog pour savoir

« Pour une Novorossya Libre ! »

Vous voulez savoir ce qui se passe vraiment sur le terrain au Donbass ? Eh bien, il n’y a pas mieux que le blog animé par Erwan Castel. Allez-y faire un tour et vous pourrez vous dire informé.


C’est par là :


jeudi 15 octobre 2015

Les mystères de l'Inde

Une passionnante conférence de vulgarisation de Michel Deseille, à voir absolument si on ne connait rien au sujet.


mercredi 14 octobre 2015

Le mensonge de la légende gaulliste

Un article sulfureux provenant du site: Cercles Nationalistes Francais

Article qui va faire grincer beaucoup de dents et certainement pas faire plaisir, mais je ne suis pas là seulement pour faire plaisir, surtout en ces temps d’imposture où il est devenu bien commode d’évoquer le grand Charles à tout va… Comme très souvent en pareil cas, la réalité historique est sévèrement mise à mal...
J’ai seulement édité quelques fautes d’orthographe et de syntaxe.

L’article original - avec photographies non reprises ici - se trouve là :


À la veille du 18 juin, il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.
C’est à partir de 1916 que l’on commence à parler d’un certain De Gaulle.
Légèrement blessé au genou au début de la guerre, “cela lui évitera de participer à la bataille de la Marne (…) une chance, car celle-ci s’est traduite par une hécatombe d’officiers subalternes dont il eût fort risqué d’être victime. »
« De même restera-t-il étranger à la bataille du Nord. »
« Les fonctions qu’il occupe dans l’État-major régimentaire vont le tenir à l’arrière des premières lignes. »
Derrière la prudence d’Yves Amiot (1), se dessine déjà le jeune De Gaulle : Éviter les coups et rester près de l’autorité supérieure.
Tel est l’homme qui arrivera finalement en première ligne le 1er mars 1916, son 33ème régiment prenant la position défendue victorieusement par le 92ème, puis par le 110ème régiment d’infanterie en dépit du pilonnage des Allemands.
Or, dès le lendemain de son arrivée, suite à un nouveau pilonnage, le capitaine De Gaulle fait hisser le drapeau blanc…

 Contrairement aux autres officiers français, les Allemands ne lui rendirent pas son épée et De Gaulle qui s’en étonnait,  s’entendit répondre froidement, « c’est parce que vous vous êtes rendu sans combattre » … !


 Ce “détail” du parcours de De Gaulle, je l’avais entendu avec mon père, une première fois au Portugal de la bouche d’un commandant de l’armée française.
Plusieurs années plus tard, le comte Aymer de la Chevalerie, le généreux donateur des locaux de Chiré-en-Montreuil, nous donnait les mêmes détails, sans que ces deux hommes se soient connus.
Tel était le personnage dont les lobbies antinationaux allaient faire un héros.
Sans la protection du général Pétain, parrain de son fils Philippe, la carrière du jeune De Gaulle se serait arrêtée là.
L’ambition maladive de De Gaulle allait l’amener à s’approprier une étude d’État-major sur l’avenir de l’arme blindée en le publiant sous son seul nom.


Réprimandé par Pétain, De Gaulle allait lui vouer une haine tenace comme à l’ensemble de l’armée française qui le méprisait.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la prétendue victoire de Montcornet le 17 mai 1940 attribuée après la guerre à De Gaulle, ne fut qu’une nouvelle reculade de sa part.
Dès les premiers engagements il fit reculer la 4
e division cuirassée qu’il commandait.
« 
Charles de Gaulle ne semble pas avoir montré sur le terrain les qualités de coup d’œil et d’invention« …, commentait Jean Lacouture (2), dans son De Gaulle, Édition Le Seuil.
Et dans Hitler der feldherr (3), traduit en français sous le titre Hitler, chef de guerre, Editions Arthaud, Gert Bucheit confirmait : « Le 15 mai, le corps blindé Guderian et le 12éème Panzer Corps atteignit Montcornet à 70 km de Sedan.
«  On pouvait supposer que le haut commandement allemand ne se contenterait pas d’une simple tête de pont sur la Meuse.
Pourtant, le général Von Kleist donna l’ordre de s’arrêter ».
 Moncornet, n’est donc qu’un clone de la pseudo victoire de Valmy du 20 septembre 1792.
L’invention d’une victoire pour créer la saga de la Révolution, comme celle de De Gaulle.
Ce fut pourtant la guerre de 40 qui allait lui donner la chance dont il rêvait.
Les Anglais qui avaient besoin d’un képi à opposer au prestige et l’action du Maréchal, envoyèrent le général Spears de l’Intelligence service, débaucher le vaniteux De Gaulle ulcéré de ne pas avoir été pris dans le gouvernement Pétain.
Tel fut le début de la légende du « glorieux résistant« , De Gaulle et là encore l’Histoire officielle est menteuse, car De Gaulle n’a jamais été nommé général.

La saga résistantialiste occulte que ce fut Albert Lebrun, président de la République, qui signa le 23 juin 1940, le décret de mise à pied de De Gaulle pour cause de désertion : Au Journal Officiel, 24 juin 1940, paraissait ce texte du Ministère de la Défense : - « Par décision ministérielle du 22 juin 1940, la promotion au grade de général de brigade à titre temporaire, de M. le colonel d’infanterie breveté De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est annulée ». 
- « M. le colonel d’infanterie breveté d’état-major De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est admis d’office à la retraite, par mesure de discipline ».
 La « Libération-Épuration » sera pour De Gaulle allié aux responsables de la Débâcle, l’occasion de créer sa «légende», donc celle de sa prétendue «victoire de Montcornet», qui n’eut pas plus de réalité historique que la «victoire» de Valmy pour la Révolution dite française, comme on l’a vu plus haut…
Elle sera aussi l’occasion de régler ses comptes avec l’armée qui le méprisait depuis sa capitulation de 1916 et contre les pétainistes.

Comme l’avouait Robespierre au Club des Jacobins pour justifier la Révolution : 
«Si Louis est innocent, c’en est fait de la Révolution».
 De même, De Gaulle était amené à proclamer Philippe Pétain «traitre», pour que lui De Gaulle et ses alliés ne le soient pas !
Les crimes de la Résistance gaullo-communistes furent tels que le Père Panicci dans son sermon du dimanche des Rameaux 1945, à Notre Dame de Paris, dénonçait « ce régime d’abattoir ».
Des documents médicaux de l’époque, permettent de mesurer l’horreur des tortures infligées par les « patriotes« , FFI, FTP, et autres « milices patriotiques » (4) :
« Poils brûlés au briquet, bougies allumées dans l’anus, pointes des seins coupées, dents cassées, brûlures électriques dans le vagin, l’anus, la plante des pieds, coups de barre de fer, sections des doigts, arrachages d’ongles, lésions de marche ou reptation sur du verre, brûlures pour « cautériser » les plaies, aspersion d’essence et mise à feu, enfoncement de la cage thoracique, du crâne, avec lésions méningées, cérébrales, de la moelle épinière – c’est ainsi qu’allait mourir dans d’atroces souffrances le constructeur Louis Renault – lésions de l’œil, viol de femmes et de fillettes, promenées nues ».
Le «féal» des Anglais, De Gaulle aux coté de Churchill
Il faut rappeler le martyre de l’amiral Platon, chargé par le maréchal Pétain de surveiller les sociétés secrètes interdites par Vichy qui, renvoyé par Laval dans sa propriété du sud-ouest, y fut torturé et mis à mort par des résistants en l’écartelant entre des tracteurs (5).
Avec celui du comte Christian de Lorgeril, héros de la guerre de 1914, on atteignait les sommets de la barbarie.
Le quotidien démocrate-chrétien du MRP, L’Aube, 16.11.1950, quelque peu gêné du comportement de ses alliés, rapportait les faits : « Arrêté pour ses idées monarchistes le 22 août 44, complètement nu, le malheureux dut s’asseoir sur la pointe d’une baïonnette, puis il eut les espaces métacarpiens sectionnés, les pieds et les mains broyés, le thorax et le dos transpercés par une baïonnette rougie au feu, puis on le réanima pour lui verser du pétrole enflammé sur les plaies« .« Il ne devait mourir que 55 jours plus tard dans des souffrances de damné » (6).
C’était le temps où le démocrate-chrétien P.H. Teitgen, Garde des Sceaux de De Gaulle, répondait aux communistes qui trouvaient l’Épuration insuffisante : « Messieurs, Par rapport à nous, les Grands Ancêtres étaient des enfants de cœur »… et à ceux qui déploraient la guerre civile, De Gaulle répondait : « Messieurs, la guerre civile où est la guerre civile » ?! (4).
Tel fut l’homme auquel Fred Zeller, ancien Grand Maître du Grand .‘. Orient .’., rendait hommage dans Europe Parlement en rappelant le « mot » de De Gaulle, à la Libération :
« Je vais redonner la République à la France, il n’y a aucune raison pour que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons » et Zeller reconnaissait :
Il nous a redonné force et vigueur« .
Tel était l’individu pour lequel tant de « nationaux« , de Rivarol, à Tixier-Vignancour et à Le Pen, entre autres, ont voté au référendum de 1958 et dont la suite de sa « carrière« , allait confirmer l’ignominie.
Dès son arrivée au pouvoir à Alger, il rétablissait, le décret Crémieux abrogé par Vichy.
Ce décret redonnait unilatéralement et en bloc la nationalité française aux seuls Juifs, alors que comme en 1870 les musulmans venaient de se battre pour la France.
Les conséquences ne se firent pas attendre et François d’Orcival rappelle, Valeurs actuelles, 13.5..05 :
« Le 1er mai 1945, les manifestants à Alger, Oran, Mostaganem, criaient « À bas la France, à bas les Juifs », tandis que la police tire sur eux ».
De même, lors des émeutes du 9 au 14 mai, les émeutiers criaient de façon révélatrice :
« 
À bas De Gaulle, serviteur de la juiverie ».
« À bas Churchill et les Juifs ».
Comme en 1870 les marxistes Adrien Texier ministre de l’Intérieur et Charles Tillon, ministre de l’Air, massacreront des milliers de civils musulmans, traités d’ « hitlériens » !!!
C’est dire si le facteur juif était fondamental dans l’insurrection contre la France, devenue aux yeux des musulmans, un occupant au service de la communauté juive.
Cela aucun des nostalgiques de l’Algérie française ne le rappelle !
Ils n’ont toujours rien compris aux causes premières de la perte de l’Algérie.
La férocité de la répression des gaullo-marxistes, comme celle du gouvernement Thiers tenu par les Rothschild en 1870, est suspecte, comme si, comme en 1870, les dirigeants de 1945 avaient voulu créer l’irréparable avec la communauté musulmane, pour la dresser contre la France.
 On connaît la suite :
La trahison de De Gaulle rappelé en 
« sauveur » par les Français d’Algérie, l’armée française et applaudi par les « nationaux » d’alors.
Pour comprendre leur naïveté, il faut rappeler comment De Gaulle s’est vanté dans ses Mémoires d’Espoir, de les avoir trompés :
“Si de but en blanc j’affichais mes intentions, une vague de stupeur(s) et de fureur(s) eut fait chavirer le navire« .
« Sans jamais changer de cap, il me faudrait donc manœuvrer »,  p. 60-61.
Ayant réussi à amener l’armée à capituler, l’autre ignominie, avec le mitraillage des Français par le général Katz aux origines juives, sera de livrer les harkis.
Le télégramme secret du 16.5.1962, N° 125/IGAA, ordonnait :
« Le ministre d’État Louis Joxe demande au Haut-commissariat de rappeler que toutes les initiatives individuelles tendant à l’installation ( en ) Métropole ( de ) Français musulmans sont strictement interdites ».
 Une nouvelle directive de Joxe, du 15 juin 1962, enjoignait : « Vous voudrez bien rechercher, tant dans l’armée que dans l’administration, les promoteurs et les complices de ces entreprises de rapatriement et de faire prendre des sanctions appropriées ».
« Les supplétifs débarqués en Métropole seront renvoyés en Algérie ».
« Je n’ignore pas que ce renvoi peut être interprété comme un refus d’assurer l’avenir de ceux qui sont restés fidèles, il conviendra donc d’éviter de donner la moindre publicité à cette mesure ».
 Même Alain Rollat reconnaissait, Le Monde 7.8.91 : « Dès le mois de juillet 1961, l’armée française commence à désarmer les harkis » « leur désarmement avait été promis au FLN par les autorités Françaises ». 
« Ils seront exécutés avec leurs femmes et leurs enfants ».
 Ces massacres « varient selon les sources, de 30.000 à 150.000, les harkis et leurs familles ont été victimes d’atrocités en tous genres, avant même la proclamation de l’indépendance, sans que les autorités françaises interviennent »...
Ainsi, les Musulmans comme les Français ont été victimes du même complot mondialiste cosmopolite.
On juge de la déliquescence de la « mouvance nationale » par son silence et son adulation d’un Le Pen qui se présente « comme seul héritier du gaullisme »Rivarol , 29.1.99 et qui, avant même son discours d’Argenteuil, prônait « une France multiculturelle et multiconfessionnelle« , Ouest-France , 3.9.99.
Or, toute la politique française actuelle découle des conséquences de cette politique gaulliste aux ordres du mondialisme.
Voilà pourquoi, il urge de faire le ménage dans les rangs de cette pseudo droite nationale et de tirer les leçons de l’Histoire.
Dont celle de la légende de De Gaulle, faux patriote, militaire lâche, capitulant aux étapes clés de notre histoire, n’ayant réussi à s’imposer que par la politique aux ordres des lobbies.
Du De Gaulle de 1916, à celui se mettant à l’abri à Londres aux ordres des Anglo-américains, au fuyard à Baden-Baden allant se mettre sous la protection du général Massu, en mai 68, c’est le même homme.
Chacune de ses fuites, de ses désertions, explique l’homme et son action contre la France.
P. P. d’ Assac
(1) Yves Amiot . La Capture . Editions Ulysse,
(2) Jean Lacouture, De Gaulle, Édition Le Seuil.
(3) Gert Bucheit. Hitler der feldherr, traduit en français sous le titre Hitler, chef de guerre, Éditions Arthaud,
(4) J-P Abel. L’Âge de Caïn . Les Editions Nouvelles.
(5) André Figueras. Onze Amiraux dans la Tourmente. DPF.
(6) Henry Coston. Le Livre Noir de l’Epuration . Lectures Françaises, 1964. Extrait de La Politique, N° 84, juin 2008





Bouddhanar: Poutine, le monde libre

Bouddhanar: Poutine, le monde libre: Le protecteur de la sainte Russie contre la barbarie yankee et les hordes de l'OTAN. Ici (en Russie), il reste encore des racine...

samedi 10 octobre 2015

La petite chaperonne LGBT

Par Ariane Walter

Un article du blog d’Alain Benajam

Najat V-Belkacem est à la gauche ce que Morano est à la droite : la nouvelle race des Limitated Girls Brain Tartiflette . La brune étant plus dangereuse que la blonde puisqu’elle s’occupe de nos enfants , la blonde régnant sur les croisiéristes Costa.
A ce sujet je parlais avec la responsable de ma mairie, mais ce sera un autre sujet, des NAP. (Non pas les nouveaux animaux de compagnie (NAC), mais des nouvelles activités périscolaires.) Cela coûte 140 000 euros par an à mon bled qui rage mais est obligé de se soumettre. Les intervenants sont payés au smic. L’autre jour, ma petite fille ayant vomi, elle est restée à la maison. « Ce n’est pas grave, m’a dit ma fille, c’est le jour où elle fait du tricot avec la dame de la mairie. (J’espère que les garçons font aussi du tricot sinon je porte plainte !)
Mais passons aux contes de fée qui, d’après Belkacem sont sexistes. Ah bon…Oui Cendrillon et Blanche Neige font le ménage sans être aidées par les princes charmants. Le méchant est UNE sorcière et non UN sorcier. Et l'idéal de tout ce petit monde est de faire des enfants et de rester au château. Par-dessus le marché, scandale total , ces histoires ne véhiculent que le couple lambda homme-femme. Aucun prince n'est homosexuel ou Bi ou trans et aucune princesse ne veut coucher avec Miley Cyrus. Là, pour nos égéries du Nouveau monde, c'est trop...


La suite de l’article c’est par là :

vendredi 9 octobre 2015

Comment décalcifier la glande pinéale (ou épiphyse)

Le premier objectif de la décalcification de votre glande pinéale est de vous permettre de commencer le processus de son activation et de l’éveil de votre troisième œil.
La décalcification de la glande pinéale se fait en deux temps. Le premier sert à interrompre toute calcification ultérieure de votre glande pinéale, causée par certains modes de vie ou facteurs environnementaux, par ex. le fluor, etc. La seconde étape consiste à réduire et éliminer la calcification existante et à poursuivre le développement de votre glande pinéale.
Nous passerons en revue ci-dessous les moyens d’atteindre ces deux objectifs.
L'article se trouve la:

jeudi 8 octobre 2015

Le Roi Salomon réalité ou fiction?

Par Sydney Woolf
                                                       

L’article original en anglais se trouve là :





Quiconque a écrit le Premier Livre des Rois et le Second Livre des Chroniques ne pouvait prévoir les possibilités de vérification offertes par l’archéologie moderne.

On pense que la cité du Roi Salomon à Jérusalem était située sur le versant  conduisant à ce qui est maintenant la mosquée Al-Aqsa. Les archéologues israéliens ont désespérément fouillé le site pendant des décennies et pourtant, pas l’ombre de preuve de l’existence historique du Roi Salomon n’a été trouvée. Aucune mention de son nom n’a été retrouvée, que ce soit sur des tablettes, des inscriptions, des registres de taxes ou des poteries décorées.

Quiconque s’est rendu en Egypte aura pu voir des preuves considérables [de l’existence] d’un  monarque qui régna trois-cent ans avant le Roi Salomon, le Pharaon Ramsès II. Pourtant, du Roi Salomon qui régna sur un vaste empire et une armée (1 Rois 4, 21-26 et 1 Rois 9, 17-23, 2 Chroniques 9, 25-26), il n’y a aucune trace. Tous les peuples vassaux lui payant tribut n’ont pas laissé la moindre trace écrite ou inscrite. Pas un des soldats de sa conquérante armée n’a laissé la moindre épée, le moindre casque ou bouclier.

L’ouvrage en deux volumes du Professeur Yadin "l’Art de la Guerre dans les Pays Bibliques" (International Publishing Co. Ltd., Jerusalem 1963), est amplement illustré d’exemples d’armures et d’armes, datant de  cette période, provenant d’autres pays, mais  on cherche en vain un seul objet datant de l’empire salomonique.

Cherchez parmi les musées d’Israël et vous ne trouverez aucune preuve de l’empire, bien qu’il y ait profusion d’artefacts estampillés ‘Canaan’ ou ‘Philistins’. Il est inconcevable, si Salomon et son empire ont réellement existé, qu’on n’en trouve aucune trace dans toutes les fouilles archéologiques partout en Israël. 

Qui donc a créé cette fiction, quand et pourquoi ? De nombreux hébreux de la captivité babylonienne, en 586 avant notre ère, s’élevèrent à des positions de commandement à Babylone. Bien établis et riches, ils n’avaient aucune envie de retourner  à la dure existence d’une terre désertique et désolée. Le peuple hébreu faisait face à sa plus grande menace : disparition totale par assimilation et leur terre avait été envahie par les armées de tribus hostiles.

Une jeune garde d’activistes ‘sionistes’ grossit, comme cela a été le cas récemment en ex-Union Soviétique. Pour rendre attractive l’idée d’un retour, il fallait créer un glorieux passé, des conquêtes militaires et un riche empire. D’où le symbole de Salomon.   
Les livres de l’Ancien Testament, à l’exception de celui de Néhémie, ont été écrits à la même période dans le même but – créant ainsi le canular du millénaire.

Ce n’est pas une coïncidence que les auteurs créèrent Abraham voyageant de Babylone (Ur des Chaldéens) à Canaan, qui est précisément l’itinéraire qu’ils convainquaient les Hébreux d’emprunter.

L’histoire de l’Exode est là pour montrer que même après s’être enfuit de l’esclavage, avoir enduré quarante années pendant lesquelles leur seule nourriture leur fut donnée par Dieu, et devant faire face à des armées puissantes, les Hébreux étaient capables de triompher et de rétablir leur état.

Combien allait-il devenir plus facile de se réinstaller, alors !

Un problème aurait pu survenir en cas de parents mixtes et de leur descendance provenant de Babylone pouvant être ostracisée lors de leur retour au pays. L’histoire de Ruth et Boaz a été insérée pour apaiser de telles craintes.

Les Livres de l’Ancien Testament n’ont pas pu être écrits à l’époque des Rois, avant la captivité à Babylone, puisque la comparaison désobligeante du roi faible avec le pouvoir d’avant de Salomon aurait dû conduire à l’exécution des auteurs.  De plus, pour prévoir, longtemps avant la captivité et les grandes colonies des Hébreux à Ur qui en résulteraient, qu’Abraham, le père fictif de la nation, allait provenir de cet endroit, il fallait que les auteurs soient  remarquablement doués pour prédire l’avenir.

Il n’y a que trois possibilités concernant l’écriture de la Torah et de ses livres associés : 1. Ils ont été écrits par Dieu. 2 Ils ont été écrits par des hommes inspirés par Dieu. 3. Ils ont été écrits par des hommes. S’ils avaient été écrits ou inspirés par le Dieu omniscient, il y aurait eu des années-lumière, des galaxies, des supernovas, des trous noirs et non pas les contes de fées de la Genèse.

Les auteurs ont créé un Dieu omnipotent exigeant obéissance mais aussi attentif aux désirs et émotions de chaque être humain. C’est là l’objet de l’histoire d’Abraham et d’Isaac. Un tel Dieu a été attrayant depuis des milliers d’années pour des humains effrayés par un univers solitaire, froid et vide.

La coutume, pour les petites nations captives, était d’être assimilées aux populations de leurs vainqueurs et de disparaître, à l’exemple des Philistins. En écrivant les livres de l’Ancien Testament, leurs auteurs ont convaincu un nombre suffisant d’Hébreux pour empêcher que cela leur arrive. Bien qu’à l’origine ils fussent destinés à leurs compatriotes contemporains, ces livres, fruit de certains Hébreux géniaux, ont influencé les croyances pendant des milliers d’années après leur époque. Ils ont aussi permis de préserver une communauté influente hébraïque à Babylone.

Il y a de nombreuses histoires d’intérêt humain, des romances ou des histoires à connotation sexuelle dans les livres de ces auteurs, qui, évidemment, aimaient à écrire. Prouver ou réfuter sont deux tâches également impossibles puisqu’il n’existe pas de documents originaux qui s’y rattachent. Il est possible qu’ils aient été détruits délibérément dans le but d’accroître la croyance en Dieu.

Des millions de gens sont morts au Moyen-Orient et en Occident, en s’entretuant pour une fiction.

Jésus et la Déesse - Les enseignements secrets des premiers chrétiens - par Timothy Freke et Peter Gandy

   
Ceci est ma traduction d’un article paru en anglais en 2003 sur le site de Graham Hancock.

Merci à Sabine Schäublin pour sa relecture et ses corrections.

Lien vers l’article original :

Timothy Freke, licencié en philosophie, est un expert en spiritualité du monde, et auteur de plus de vingt ouvrages. Peter Gandy a une maîtrise de civilisation classique. Pour plus d’information sur ces auteurs, leurs ouvrages, cours et séminaires, veuillez consulter le site :





Si l’idée d’une secte ayant fabriqué l’histoire de Jésus peut nous sembler étrange, de nos jours, c’est parce que nous ne voyons plus les mythes de la même façon que nos ancêtres. Pour nous, les mythes sont des fariboles sans intérêt, alors que les anciens les considéraient comme de profondes allégories renfermant des enseignements mystiques codés.
Épiphane, par exemple, nous décrit les chrétiens gnostiques comme usant d’ ‘‘interprétation allégorique’’ pour ‘‘recomposer’’ à leur guise les écrits juifs et la  ‘‘mythologie épique grecque’’, qui sont précisément les deux sources utilisées pour la création du mythe de Jésus1.

Les Mystères Internes    
Dans notre dernier livre, Jésus et la Déesse Égarée2, nous explorons comment l’histoire de Jésus n’était qu’une partie d’un plus grand corpus de mythologie chrétienne qui combinait des motifs mythologiques juifs et païens. Les chrétiens originaux traitaient l’histoire de Jésus comme une allégorie à utiliser pour présenter aux débutants la voie spirituelle. Pour ceux désireux d’aller plus loin, plus profond que les ‘‘mystères externes’’, qui étaient seulement ‘‘pour les masses’’, il y avait les enseignements secrets ou ‘‘mystères internes’’. Il s’agissait des ‘‘traditions secrètes de la vraie Gnose’’, qui d’après le Père de l’Église Clément d’Alexandrie, étaient transmises ‘‘à un petit nombre par une lignée de maîtres’’. Ceux initiés aux mystères internes découvraient que le christianisme n’était pas seulement la mort et la résurrection du Fils de Dieu. On leur racontait aussi un autre mythe, dont peu de chrétiens actuels ont seulement ne serait-ce qu’entendu parler. L’histoire de l’amour de Jésus. La Fille de la Déesse, perdue et rachetée.
Les chrétiens des premiers temps vénéraient le divin non seulement comme Dieu le Père mais comme Sophia, la Sage Déesse. Paul nous dit, dans sa première Épître aux Corinthiens, que ‘‘parmi les initiés, nous parlons de Sophia’’, car c’est ‘‘le secret de Sophia ’’ qui est ‘‘enseigné dans nos mystères ’’. Lorsque les initiés des mystères internes du christianisme prenaient part à la Sainte Communion, c’est la passion et les souffrances de Sophia qu’ils se remémoraient. Parmi les premiers chrétiens, prêtres et prêtresses offraient aux initiés du vin comme symbole de ‘‘son sang’’. La prière suivante était offerte : ‘‘Puisse Sophia emplir l’intérieur de ton être et accroitre sa Gnose en toi ’’. C’est à elle qu’ils adressaient leurs prières:
‘Viens, Ô, Secrète Mère ; viens, toi qui te manifestes par tes œuvres et qui donnes la joie et le repos à ceux qui te sont attachés. Viens et prend part à cette Eucharistie que nous accomplissons en ton nom, et à cette agape pour laquelle nous nous sommes réunis à ton invitation.’
Dans les mystères internes secrets des chrétiens des origines, l’histoire de Jésus était placée dans son contexte légitime à la fin d’un cycle de mythes chrétiens, commençant avec l’ineffable Mystère, manifesté en tant que Père et Mère primordiaux,  et trouvant son apogée dans l’union mystique de Jésus et Sophia. Il fut alors révélé que tous ces mythes étaient des allégories d’initiation spirituelle – histoires symboliques contenant une profonde philosophie, ayant le pouvoir de transformer un chrétien en un Christ.
                                   
Le mythe de Sophia
Il existe de nombreuses versions du mythe chrétien de Sophia, mais en essence, l’histoire est celle de sa chute de la maison de son Père dans le monde, où elle se perd, de sa quête d’amour qui la conduit à tous les mauvais endroits, de ses nombreux faux amants qui la maltraitent  et de la prostitution dans laquelle elle finit par sombrer. A la suite de son repentir et de ses appels à l’aide, son Père envoie à son secours son frère/amant Christ. Sophia représente l’âme de chaque initié, et le mythe une allégorie de la descente de l’âme, de son incarnation dans un corps humain, où elle se perd dans le monde, et de sa libération spirituelle, par la suite, au contact du Christ intérieur, représentant la Conscience de Dieu, au cœur de tous les êtres. 
Les chrétiens représentent souvent Sophia sous deux aspects. La Sophia la plus élevée est symbolisée par une mère vierge et représente la pureté originelle de l’âme, à partir de laquelle notre corps se matérialise de lui-même. La Sophia de la déchéance est symbolisée par une prostituée qui est rachetée, et qui représente l’âme descendue et incarnée, perdue dans le monde et son besoin d’illumination spirituelle.
Le mythe chrétien du Dieu-homme Jésus ne peut être convenablement appréhendé qu’en relation au mythe de sa contrepartie, la Déesse chrétienne Sophia. Dans le mythe de Sophia, la Déesse constitue la figure centrale, alors que son frère/amant n’est qu’un personnage secondaire. Dans le mythe de Jésus, c’est l’inverse. Le Dieu-homme est le personnage central. Pourtant, le mythe de la Déesse perdue constitue bien un contexte d’importance  sous-jacent à l’histoire de Jésus, chose qui aurait été évidente pour les chrétiens initiés, connaissant les deux allégories. Dans les Evangiles, les deux Maries représentent les deux Sophias, celle de l’élévation et celle de la bassesse. Elles portent toutes deux le même nom pour accentuer le fait qu’elles sont deux aspects mythologiques d’un même personnage. Comme dans le mythe de Sophia, la première Marie est une mère vierge, comme Sophia avec le Père, et la seconde, une amante, une prostituée  rachetée par Jésus, comme la Sophia perdue dans le monde ici-bas.
Comme son fils/frère/amant Jésus, la Déesse chrétienne est une figure syncrétique créée à partir de deux sources, juive et païenne. Les chrétiens gnostiques eux-mêmes, retracent l’origine du mythe de leur Sophia à des textes juifs, comme la Genèse, Jérémie, Ézéchiel, les Proverbes et à divers mythes païens. Par exemple, et principalement, l’histoire de la Déesse déchue et rachetée, souvent dépeinte sous les deux aspects d’une amante vierge et d’une prostituée, qu’on peut trouver dans les mythes païens d’Aphrodite, d’Hélène, d’Éros, de Psyché et, celui encore plus connu de Déméter. Tous ces mythes, nous disent les auteurs païens, sont des allégories de la descente de l’âme, son incarnation et son rachat ultérieur.     
Les personnages de Déméter et Perséphone furent élaborés par les Grecs à partir de l’ancienne mythologie égyptienne. Le philosophe païen Porphyre nous enseigne que la déesse égyptienne Isis est l’équivalente des deux déesses Déméter et Perséphone. De la même façon que le mythe égyptien de la mort et résurrection du Dieu-homme Osiris est la plus ancienne source du mythe de Jésus, le mythe d’Isis constitue la source la plus ancienne du mythe chrétien de Sophia, la Déesse perdue et rachetée.
Sophia, dont le nom signifie ‘‘Sagesse’’, était la Déesse des philosophes païens depuis des siècles. De fait, le terme ‘‘philosophe’’, utilisé en premier par Pythagore, signifie ‘‘qui aime Sophia’’. Bien qu’ils soient, de nos jours, souvent dépeints comme d’ennuyeux universitaires, ces brillants intellectuels étaient en réalité de mystiques dévots de la Déesse. Sophia était également une figure mythique de premier plan pour les philosophes gnostiques juifs, tel Philon le Pythagoréen (Philon d’Alexandrie).

La Déesse Juive
Bien que rejetée plus tard par les juifs majoritaires, la tradition d’une déesse juive avait toujours existé. A une certaine époque, les Israélites vénéraient la Déesse Ashérah, en tant que consort du Dieu juif Jéhovah. Au 5ème siècle avant notre ère, on la connaissait en tant que Anat Jahu. Dans des écrits composés entre les 4ème et premier siècles avant notre ère, tels que les Proverbes, la Sagesse de Salomon et la Sophia de Jésus fils de Sirach, elle devient la compagne de Dieu et co-créatrice Sophia. La Sophia juive est l’amante et l’inspiratrice de la bonté et de la sagesse. Elle est ‘‘une initiée aux Mystères de la Gnose de Dieu’’, qui enseigne à ses suivants comment devenir ‘‘amis de Dieu’’ – le nom omniprésent utilisé par païens, juifs et gnostiques chrétiens. La Sophia de Salomon nous assure :
‘‘Sophia brille d’un éclat qui ne diminue jamais. Elle est immédiatement discernée par ceux qui l’aiment et elle est trouvée par ceux qui la cherchent. Elle est prompte à se faire connaitre de ceux qui désirent sa Gnose.’’    
La littérature juive traitant de la Sophia parle d’un mythique ‘‘Homme de Bien’’ – personne en particulier – qui est l’envoyé de la Déesse sur terre. Moïse fut dépeint comme un tel envoyé. D’après le mythe de l’Exode, lorsqu’il transmet son autorité à Joshua (Grec : Jésus), il reçoit également ‘‘l’esprit de Sophia’’. Pour les gnostiques chrétiens, leur héro mythique Joshua/ Jésus est pareillement l’envoyé de Sophia venu pour révéler sa Sagesse conduisant à la Gnose. D’où le ‘‘secret’’ proclamé par Paul dans son Épître aux Colossiens : ‘‘Christ dans lequel sont cachés les trésors de Sophia et de la Gnose’’.
Dans la littérature juive traitant de la Sophia, ‘‘l’homme de bien’’ est persécuté par son propre peuple pour avoir prêché la sagesse de Sophia et condamné à une ‘‘mort infâmante’’. Mais il est, par la suite, vengé, et confronte ses persécuteurs en les jugeant dans les cieux, où il est un des ‘‘Fils de Dieu’’. Entre les mains des gnostiques chrétiens, cet  ‘‘Homme de Bien’’ devient Jésus le ‘‘Fils de Dieu’’, qui vient, disent-ils, ‘‘afin que Sophia soit proclamée’’. Assassiné par les siens, fourvoyés, mais vengé par sa résurrection aux cieux, où il trône comme juge divin.
A notre avis, la preuve est clairement faite que le christianisme était, à l’origine, la synthèse d’une philosophie spirituelle et d’une mythologie allégorique juives et païennes préexistantes, et qu’au centre de cette tradition, était le mythe de la Déesse Sophia. L’éradication, par l’Église Romaine patriarcale, de la Déesse chrétienne nous a rendu, nous tous, orphelins de mère. On a refusé aux femmes un rapport de sympathie avec le Divin Féminin. On a refusé aux hommes une histoire d’amour avec la face féminine de la Déité. La spiritualité a pris part au combat qui sépare les sexes, quand elle devrait être le sanctuaire de la communion éternelle. Pourtant, les premiers chrétiens pratiquaient la ‘‘spiritualité associée’’.
Ils étaient connus pour la même valeur qu’ils accordaient à l’homme comme à la femme, en tant qu’expressions du Dieu et de la Déesse. Ils voyaient la division des sexes comme une corrélation de la polarité primaire qui est à la base de la vie. Une dualité, qui, devenue Unité, comme dans l’acte physique d’amour, apporte la félicité de l’union mystique qu’ils appelaient ‘‘Gnose’’.  

Notes de traduction :
1 Le mythe de Jésus est une création très complexe. L’une des sources – très souvent occultée – et mentionnée plus bas dans le texte, est égyptienne. A ce sujet, Jacques Grimault ne mâche pas ses mots lorsqu’il déclare dans son entretien à MetaTV : « …Le christianisme prend ses sources en Egypte et pas ailleurs. Quand on dit judéo-christianisme c’est de la foutaise… »

2 Paru en 2008 en français


Quelques liens utiles en français pour en apprendre plus:
Sur le livre Jésus et la Déesse Égarée :

Sur l’auteur Timothy Freke :

sur Épiphane de Salamine :

sur Clément d’Alexandrie :
sur la Première Épître de Paul aux Corinthiens :

sur la Genèse :

sur le Livre de Jérémie :

sur le Livre d’Ézéchiel :

sur le Livre des Proverbes :

sur Aphrodite :

sur Hélène :

sur Éros :

sur Psyché :


sur Déméter :

sur Perséphone :

sur le rapport entre Isis, Déméter et Perséphone :

sur les Mystères d’Eleusis :

sur Porphyre :

sur la Sagesse de Salomon



sur Anat mère des Dieux :

sur Yahvé et Ashérah :
sur la Déesse Ashérah :


sur les Trinités indo-européennes

sur la Sophia de Jésus fils de Sirach :


Si vous voulez en savoir encore davantage sur le sujet, je ne saurais trop vous recommander de faire vos propres recherches dans toutes les langues que vous connaissez !