samedi 31 janvier 2015

« Coïncidence »: le patron d’Hyper Cacher avait cédé son entreprise « un jour avant » la prise d’otages

INFO PANAMZA. Un quotidien américain rapporte incidemment un fait troublant : Michel Emsalem, président-fondateur et actionnaire unique du groupe Hyper Cacher, avait cédé sa participation la veille de l'attentat. Huit mois plus tôt, il avait également installé sa famille à New York pour la «sécuriser».
Le 30.01.2015 à 15h48
Étrange désinvolture de la presse traditionnelle de l'Hexagone : son magasin était au cœur de l'actualité nationale du 9 janvier mais aucun journaliste issu des grandes rédactions n'est allé s'enquérir de sa réaction face aux évènements du jour. 
Son nom est Michel Emsalem.
La suite c’est par là :

mercredi 28 janvier 2015

Actualité et politique n°XV


Entretien du 10 janvier 2015 entre Philippe Ploncard d’Assac, Vincent Holwek et Jean Lamour

Sommaire :
Crèches, volonté d’application de la laïcité, travail du dimanche l’ origine judaïque de l’Islam, Philippot, BHL en Tunisie Zemmour, Pierre Jovanovic, la Russie de Vladimir Poutine le noachisme par André Gandillon…


Le mondialisme messianique et son utilisation de l’Islam


Conférence de Philippe Ploncard d’Assac du 10 janvier 2015

Sommaire :
Les attentats de Charlie hebdo, état islamique, l’origine judaïque de l’Islam, pourquoi les services de MM Valls et Cazeneuve, n’ayant rien vu venir ?, amateurisme de la part des criminels désignés ?! l’utilisation du monde chrétien…



samedi 24 janvier 2015

vendredi 23 janvier 2015

Amazon Killer

Encore un article qui fait plaisir! 
Comment faire reprendre au public le chemin des librairies tout en taillant des croupières à Amazon? Un certain Elliot Lepers a mis au point une application gratuite et bien astucieuse, qui permet à l’internaute de chercher un livre sur Amazon et ensuite lui indique dans quelle librairie la plus proche il est disponible. « Pas mal », comme disait Garcimore, hein ?
Ça se passe par là :

L’extension pour le navigateur Chrome: 

L’extension pour le navigateur Firefox:


La Russie ne se laisse plus faire

Un article qui me fait bien plaisir!

L’ordre mondial qui régnait depuis 1991 est en train de s’écrouler en ce moment sous nos yeux. La décision du président Poutine de se dispenser du pèlerinage à Auschwitz, juste après son absence remarquée au festival Charlie à Paris, c’est le point de non-retour. C’était très drôle detroller la Russie, tant qu’elle se laissait faire. Mais c’est fini, la Russie a déchiré la règle du jeu.

Jusqu’à maintenant, la Russie, comme un rustre à Eton, s’efforçait de faire comme les autres pays. Elle accourait aux raouts des grands, comme à un dîner de cons, payait ses dettes aux entités européennes qui lui crachaient dessus, endurait patiemment les incessantes rodomontades des grands pouvoirs et le harcèlement irritant des petits bras de l’Europe de l’Est. Et puis quelque chose a lâché. Le bougre ne cherche plus à se faire accepter ; il a repris ses billes et il est rentré chez lui, juste au moment où ils avaient besoin qu’il aille plier le genou à Auschwitz.
Chaque année, les dirigeants occidentaux vont à Auschwitz comme à Canossa pleurer en chœur sur leur échec historique à protéger les juifs, et jurent obéissance éternelle aux juifs. C’est l’un des rites religieux les plus importants de notre époque, l’Anneau unique auquel ils doivent se soumettre, un rite instauré en 2001, lorsque l’empire judéo-américain avait atteint le point culminant de son pouvoir. Le dirigeant russe y avait dûment assisté jusqu’ici. Cette année, ils vont devoir se passer de lui. Les ministres israéliens ont déjà fait connaître leur profonde déception car c’est l’Armée Rouge qui avait sauvé les juifs à Auschwitz, après tout. L’absence de la Russie va faire du H’Day mémoriel une kermesse paroissiale, réservée aux Occidentaux. Pire encore, la place de la Russie sera prise par l’Ukraine, gouvernée par les héritiers nullement repentis de Bandera, la créature d’Hitler.

Cela survient après la manif pour Charlie, également boudée par la Russie. L’Occident avait laissé entendre que les péchés de la Russie lui seraient pardonnés, jusqu’à un certain point, si elle rejoignait, d’abord la manif, puis la coalition anti-terroriste programmée, mais la Russie n’a pas mordu à l’appât. C’était un changement d’humeur voyant, car jusque-là, les dirigeants russes se précipitaient pour participer aux célébrations unitaires et votaient les résolutions sponsorisées par l’Occident.

L'article en entier, c'est par là:

jeudi 22 janvier 2015

Enquête explosive sur l'ONU!


Organisation des Abominations Unies : une institution au service du mal. Edifiant.


mercredi 21 janvier 2015

Un texte du Nouveau Testament découvert dans une momie égyptienne


Un texte biblique datant du premier siècle de notre ère, qui serait vraisemblablement le plus vieux fragment de l'évangile de St Marc connu à ce jour, a été découvert dans le masque d'une momie égyptienne. 

L'article est là:

http://fr.sott.net/article/24584-Un-texte-du-Nouveau-Testament-decouvert-dans-une-momie-egyptienne

lundi 19 janvier 2015

Annonce: conférence de Pierre Dortiguier à Marseille le 8 février 2015

Nous vous invitons à vous inscrire à ce courriel : ods13@laposte.net et diffuser l’information autour de vous. Il sera question de la sortie du livre de Pierre Dortiguier sur Nietzsche ainsi que de l’actualité brûlante de ces derniers jours.


samedi 17 janvier 2015

Militants FN pro-DF la traque commence





Capture d’écran du site L’entente.net.
Un article publié il y a quelques semaines sur le site « L’entente.net » illustre très adéquatement le climat orwellien qui se développe dans notre pays, année après année.
Dans cet article, que vous pouvez lire ici, le ou les auteurs se livrent à un véritable exercice de délation extrêmement significatif. L’article en question poursuit en effet un unique objectif : recenser méthodiquement les noms et fonctions des militants, candidats et élus du Front National partageant explicitement les idées de la Dissidence Française sur les réseaux sociaux.
La visée quasi-exhaustive de l’article, agrémenté de nombreuses captures d’écran sensée établir ses affirmations, s’apparente clairement à un travail policier. On notera d’ailleurs l’anonymat nébuleux derrière lequel se cachent les auteurs de cet article et les administrateurs de ce site, exclusivement consacrée à la déstabilisation du Front National.



Quel est le but poursuivi par cet article ? Il est double : il s’agit d’abord de fournir des « munitions » aux journalistes du Système (pléonasme) afin de générer de nouvelles polémiques et lancer des opérations de déstabilisation du Front National qui devra, une nouvelle fois, opérer de nouvelles purges, fragilisant encore davantage son appareil militant. Par ailleurs, il s’agit d’isoler la Dissidence Française des circuits politiques « institutionnels », permettant ainsi de limiter notre travail d’influence idéologique et de marginaliser notre discours.
Ces vieilles méthodes déjà éprouvées sont bien connues de notre milieu et porte la marque typique de la collusion entre les services de renseignement intérieur et les cellules maçonnico-antifascistes qui apparaissent périodiquement sous des appellations différentes mais en usant toujours des mêmes méthodes.
Des méthodes qui s’apparentent, toutes proportions gardées, à celles de la Stasi (terme qui désignait la police politique chargée de traquer les dissidents et qui sévissait en RDA jusqu’à la chute du Mur de Berlin), et dont les modes d’action inspirent toujours les polices politiques du soft-totalitarism occidental.
Voyez plutôt :
« Le but de la décomposition est la fragmentation, la paralysie, la désorganisation et l’isolement des forces hostiles et négatives, afin d’empêcher par là, de manière préventive, les agissements hostiles et négatifs, de les limiter en grande partie ou de les éviter totalement, et le cas échéant de préparer le terrain à un rétablissement politique et idéologique. (…) Les forces principales de la mise en œuvre des décompositions sont les collaborateurs officieux. »
Extrait du Dictionnaire du travail politique et opérationnel de la Stasi
« Décomposition : dégradation systématique de la réputation, de l’image et du prestige sur la base de données d’une part vraies, vérifiables et dégradantes, et d’autre part fausses, vraisemblables, irréfutables et toujours dégradantes ; organisation systématique d’échecs professionnels et sociaux pour démolir la confiance en soi de l’individu ; […] stimulation des doutes relatifs aux perspectives d’avenir ; stimulation de la méfiance et du soupçon mutuel au sein des groupes. »
Stasi – Directive 1/76 de janv. 1976
La mobilisation de tels stratagèmes témoigne de l’influence grandissante de la Dissidence Française et des efforts du Système pour la limiter. Il est évident que ces efforts sont vains.
Notre Mouvement poursuivra son développement et, tôt ou tard, n’oubliera pas de rappeler à ces « détracteurs » une vérité simple : toute action entraine une réaction.


L'Afrique n'est pas "Charlie" par Bernard Lugan

Samedi 17 janvier 2015

Vu d'Afrique, l' "affaire  Charlie hebdo" illustre les limites de l'universalisme européo-centré. Vendredi 16 janvier, alors que les sociétés de l'hémisphère nord communiaient dans le culte de la liberté d'expression, une partie de l'Afrique s' insurgeait contre la France des "Charlie". Du Sénégal à la Mauritanie, du Mali au Niger, de l'Algérie à la Tunisie et au Soudan, le drapeau français a été brûlé, des bâtiments français incendiés et en "prime", des églises détruites. Quant aux imprudents chefs d'Etat africains qui participèrent à la marche des "Charlie", dont Ibrahim Boubacar Keita du Mali, les voilà désormais désignés ennemis de l'islam.

Aveuglés par la légitime émotion et noyés sous l'immédiateté, nos responsables politiques n'ont pas songé à se demander comment l'Afrique percevait les événements. Or, alors que pour nous, il s'agit d'un ignoble attentat contre la liberté d'expression commis contre des journalistes, personnes sacrées dans nos sociétés de la communication, pour une grande partie de l'Afrique, il s'agit tout au contraire de la "juste punition de blasphémateurs".  Qui plus est ces derniers n'en étaient pas à leur coup d'essai et ils avaient même été solennellement mis en garde. Voilà pourquoi leurs assassins sont considérés comme des "héros". Quant aux foules de "Charlie", elles sont vues comme complices des insultes faites au Prophète. De plus, comme le président de la République a marché à leur tête, cela signifie que la France et les Français sont coupables.

Les conséquences géopolitiques qui vont découler de cette situation ne peuvent encore être mesurées, notamment dans les pays du Sahel en raison du jihadisme récurrent contre lequel nos troupes sont engagées. Le plus grave est ce qui s'est passé au Niger où Boko Haram qui, jusqu'à présent ne s'était pas manifesté, a pris le prétexte de la nouvelle livraison de Charlie Hebdo pour lancer les foules contre le centre culturel français de Zinder; au même moment, nos postes militaires avancés veillent aux frontières du pays...

Personne n'a dit ou vu que l' "affaire Charlie Hebdo" n'est que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase des impératifs politiques et moraux que nous imposons à l'Afrique: démocratie, droits de l'homme, avortement, mariage homosexuel, anthropomorphisme etc. Tous y sont considérés avec dédain ou même comme de "diaboliques déviances".

C'est donc dans les larmes et dans le sang que les bonnes âmes et les idéologues vont devoir constater que le "village Terre" n'existait que dans leurs fantasmes universalistes. Ce qui est bon ou juste aux yeux de leur branchitude est en effet une abomination pour une grande partie de l'Afrique et même de la planète.
En plus de cela, pour nombre d'Africains, l'Europe est devenue une terre à prendre : ses habitants ne croient plus en Dieu, ses femmes à la vertu volage ne font plus d'enfants, les homosexuels s'y marient et la féminisation y a dévirilisé ses mâles. Paradoxe cruel, ceux qui, depuis des décennies, ont permis cette révolution en tournant systématiquement en dérision les valeurs fondatrices et le socle social (famille, travail, discipline, ordre, effort, armée, police etc.) ont été odieusement assassinés par les enfants de ceux auxquels ils ont si largement ouvert les portes...

Nous voilà donc au terme du processus. Désormais, la contradiction est telle que seul un "saut qualitatif brusque", comme le disaient les marxistes, permettrait de la surmonter. L'obsolète méthode "soustellienne" de l'intégration ou celle du "radeau de la Méduse" de la laïcité n'y suffiront sans doute pas...

Bernard Lugan
17/01/2015


vendredi 16 janvier 2015

Mystérieux « suicide » du policier chargé de la connexion Charlie Hebdo-Jeannette Bougrab

Panamza

Une chape de plomb en France, un sujet d’interrogation à l’étranger
Tel est le contraste médiatique au sujet de l'annonce du "suicide" d'un policier impliqué dans l'investigation relative à la fusillade survenue au siège de Charlie Hebdo

Les millions de téléspectateurs de l'émission Daily News & Analysis (DNA) de la chaîne indienne Zee News ainsi que les 150 000 abonnés du compte Youtube de l'antenne ont ainsi pu découvrir ce dont les Français ont été privés à ce jour : un reportage audiovisuel consacré à une affaire passée sous silence par les médias nationaux.

L’article se trouve là : 

«Plus belle la vie, le conditionnement au quotidien » par Vincent Vauclin





Les programmes télévisés comme « Plus belle la vie » visent à induire l’identification inconsciente (facilitée par la médiation de l’écran) du téléspectateur aux personnages de la série. Il suffit ensuite de mettre en scène les personnages de la série pour que le téléspectateur s’identifie non seulement au personnage (le temps de l’épisode), mais également à ses attitudes, ce qui influera à terme sur les comportements du téléspectateur.
Ce mécanisme de manipulation n’est pas nouveau, et est expliqué ouvertement dans des ouvrages sur la psychologie du consommateur, où l’on découvre comment inoculer inconsciemment à une cible (le consommateur) des représentations mentales (des attitudes) qui influeront à terme sur ses actes d’achat (son comportement). La réussite de cette opération marketing dépendra essentiellement de la fréquence d’exposition du consommateur au message, et du contexte d’exposition au message. Plus la fréquence et la durée d’exposition au message est élevée, plus le message va imprégner et façonner la psychologie du consommateur. De même, plus le message sera associé à des émotions, plus il sera facilement assimilé par la cible, car l’émotion court-circuite les processus de raisonnement critique.
Revenons à « Plus belle la vie ». L’exposition du téléspectateur au message est quotidienne et dure depuis des années. Le nombre d’épisodes de cette série dépasse les 2600. La série captive environ 4 à 5 millions de personnes tous les soirs. Chaque épisode est un programme de rééducation partielle qui fonctionne comme une publicité. À la différence qu’il ne s’agit pas d’induire prioritairement un acte d’achat, mais d’induire un ensemble d’attitudes mentales qui vont influer sur le mode de traitement de la réalité et modifier progressivement les réactions du téléspectateur aux évènements.
Il s’agit tout simplement d’une forme légèrement plus perfectionné de conditionnement, tel qu’il fut découvert par Pavlov et perfectionné par Skinner, destiné à modifier la réponse du téléspectateur à un stimulus, en lui inoculant un ensemble de réponses pré-établies qui seront mobilisées prioritairement par le téléspectateur à chaque fois qu’il sera confronté à un stimulus semblable.
Ce programme fonctionne essentiellement par un processus classique de conditionnement comportemental que l’on résumera ainsi, en s’appuyant sur la récente séquence diffusée dans la série et consacrée aux attentats contre Charlie Hebdo :
1. « Il y a des attentats » (Constatation initiale).
2. « Nous sommes très affectés par cette barbarie » (Cohésion émotionnelle personnage-téléspectateur, mise en mots de l’état de choc partagé, processus identificatoire enclenché).
3. « Il ne faut pas se diviser, d’autant qu’en ce moment le climat en France est propice à la division » (Introduction d’une première attitude implicite, selon un raisonnement pseudo-logique destiné à induire une confusion des responsabilités : a) les terroristes veulent nous diviser b) certains auteurs « d’extrême-droite » génèrent de la division en mettant en évidence la faillite du « vivre-ensemble » c) ces auteurs sont en quelques sortes complices des terroristes. Première conclusion implicite : remettre en cause le « vivre-ensemble » et le multiculturalisme, c’est faire le jeu du terrorisme).
4. « Il ne faut pas faire d’amalgames » (Introduction explicite d’une seconde attitude dans la brèche ouverte par l’émotion. Le prêt-à-penser cosmopolite est réactualisé).
5. « Il faut acheter Charlie Hebdo » (Décharge du stress dans l’acte d’achat, qui validera en quelques sortes le cycle de conditionnement-rééducation par l’implication active du consommateur. Méthode conforme au processus de conditionnement opérant tel que développé par Skinner dans les années 50. Notion de renforcement positif).
En résumé : une réponse programmée est inoculée au téléspectateur qui dispose désormais d’une réaction politiquement correcte au stimulus « Charlie Hebdo », lui permettant de réagir en faisant l’économie de la réflexion critique.
La mise en scène doit faciliter l’identification du téléspectateur : tous les personnages de la scène sont d’accords sur l’attitude à adopter, et chaque téléspectateur, jeune ou vieux, homme ou femme, noir ou blanc, peut s’identifier à l’un des personnages pour entrer en résonance avec lui (le choix des personnages pour cette séquence n’est évidemment pas un hasard).
À l’arrière-plan, un figurant porte une vignette « Je suis Charlie » sur la poitrine. Cette même vignette est également visible sur le comptoir, permettant de multiplier les impacts du message durant cette courte séquence et de renforcer le sentiment d’unanimité, ce qui est essentiel au processus de normalisation d’une attitude.
Ce genre de processus de conditionnement est évidemment largement répandu et permet aux médias de masse de façonner l’opinion depuis des décennies. Le média « télévision » est évidemment un catalyseur du processus de conditionnement puisque son mode de fonctionnement influe, c’est désormais établi, sur les processus électro-physiologiques du cerveau en induisant une sorte de transe hypnotique propice à la rééducation.
« Plus belle la vie », c’est donc un organe de propagande ahurissant, digne d’un programme de rééducation de la RDA. Un outil d’ingénierie sociale payé par le contribuable (Chutzpah !), où la banalisation de l’homosexualité côtoie la normalisation du métissage, le tout mâtiné d’une bienpensance insupportable et d’hymnes systématiques à la « tolérance », au « progrès », à la « diversité » et au « vivre-ensemble ».
Et pour couronner le tout, vous apprendrez que cette série est scénarisée par… Olivier Szulzynger, juif et « militant de gauche ». Ce qui est évidemment un pur hasard.

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jeudi 15 janvier 2015

"Chaaaarlie" par Paul-Éric Blanrue

Quelques extraits contenant ces formules lapidaires et irrésistibles dont Oncle Paul-Éric a le secret :

- Dieudonné est sorti ! Nous sommes tous Dieudonné ?

- Sondage du Point sur le Net : "Faut-il définitivement interdire Dieudonné de tribune ?"Prochainement : "Faut-il fusiller Dieudonné ou le pendre haut et court" ?

- Plus de 80% des Français jugent que le président Hollande a bien géré la situation après les attentats du 7 janvier. Pour ma part, j'ai un léger doute sur sa capacité à gérer la situation avant les attentats. Et c'est peut-être ce qui est le plus important à apprécier, dans cette dramatique histoire.

- Aymeric Chauprade en vidéo : "La majorité des musulmans sont pacifiques mais avant la guerre la majorité des Allemands l'étaient aussi." Je ne le savais pas si préoccupé par la montée du nazisme dans les années trente. Et aussi :"La violence se trouve dans les textes sacrés de l'islam". Et encore : "Il y a un million de musulmans en France prêts à être le vivier de l'islamisme". Il termine en citant Houellebecq.” “

En entier, c’est par là :

La persévérance diabolique du carolocaricaturisme


Un article inspiré signé Pierre Dortiguier

Extrait:

"La formule latine de nos anciennes universités, est connue, se tromper ou errer est humain, persévérer est diabolique : « erare humanum est, perseverare diabolicum ». Les actuels porteurs de pancartes, les Carlistes ou Carolocaturistes français, se retrouvent floués ou trompés, abusés, car l’image a changé, et ils sont tous assimilés par le talon de fer qui les écrase, à une immense armée, pour ainsi dire, anti-mahométane. Ce faisant l’on donne à toutes les forces belliqueuses de l’Occident américanisé, sous pavillon otano-sioniste le sens d’une croisade, et d’une offensive contre toute forme de foi qui n’inclura pas dans son credo le caractère seul sacré, inviolable, de la terre où sont inhumées, par décision non des familles, mais des autorités de l’entité sioniste s’imposant à la communauté, les victimes tunisiennes et françaises de l’épicerie confessionnelle de Vincennes."

L’article complet :

mercredi 14 janvier 2015

L’imposture, la duplicité, la ripoublique






Pour illustrer cette pantalonnade, quelques propos de Jacob Cohen extraits d’un entretien récent :

«Que vous inspire la présence de Benyamin Netanyahou qui a profité de l'occasion pour appeler les juifs de France à faire leur alya?
 Tout d’abord c’est un ramassis d’hypocrites, de dirigeants sans morale ni intégrité politiques. On a assisté à une mascarade qui doit certainement avoir des objectifs inavoués. On ne fait pas tout ce cinéma pour une protestation. C’était un « show » extraordinaire qui prépare l’opinion, déjà acquise, à des mesures drastiques ;
La présence de Netanyahou a apporté la touche de cynisme pour compléter le tableau. J’y vois, en dehors du fait que c’est pure abjection qu’un criminel de guerre de cette envergure soit là, une espèce de légitimation du rôle central d’Israël pour combattre « l’hydre terroriste islamique ». Et donc il ne faudrait plus l’embêter avec les aspects dérisoires de l’occupation et de la colonisation. Qu’il appelle les juifs de France à faire leur Alya montre qu’il joue la cassure en toute impunité. Il est sûr de lui. Il vient en France comme en pays conquis. »


Sources :


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Le Clan des Vénitiens: Revoir Paris. Réflexions du jour de Paul-Éric Blan...: - De retour à Paris. Première impression à la descente d'avion : qu'est-ce que c'est que ce pays ? - Je lis dans H...

Dominique Venner : Triomphe et déclin de l’utopie américaine







La « cage d’acier » de la société libérale
Depuis la fin de la guerre froide et la victoire de la puissance américaine sur son adversaire soviétique, une interprétation uniforme s’est imposée de l’histoire européenne du XXe siècle vue comme une marche difficile mais inéluctable vers la « Sainte Démocratie » brocardée par Kundera. Une sorte d’utopie parée de couleurs hédonistes chatoyantes, celles de la prospérité générale, du pluralisme des opinions et de la liberté laissée à la vie privée la plus débridée. Après 1918, le président américain Wilson avait proposé d’ouvrir l’Europe à cette utopie de bâtir un monde « sûr pour la démocratie ». Et voilà que cette ultime utopie semblait sur le point de se réaliser.
Comme d’autres avant lui, Kundera se faisait le critique de la société libérale. Il voyait que son idéal séduisant de liberté individuelle et d’ouverture au monde masquait en réalité le pouvoir d’une oligarchie, la toute-puissance du marché qui transforme les citoyens-consommateurs en esclaves de la marchandise, réduisant toute valeur aux seuls critères de l’utilité marchande.
Certes, il y a un abîme entre la mise au rebut des « forces de travail », c’est-à-dire d’hommes très concrets sacrifiés en silence à la logique du profit, et l’anéantissement physique de millions d’hommes pratiqué jadis par Lénine et Staline, ou dans un genre différent, par Hitler. Mais était-il intellectuellement honnête de s’abriter rétrospectivement derrière le retour à la barbarie qui a sévi après 1917, et à laquelle n’ont d’ailleurs pas échappé les « démocraties » quand elles procédaient aux bombardements de terreur sur les populations civiles en Allemagne ou au Japon (Hiroshima) ? On invoquera l’immoralisme brutal des uns pour prétendre au monopole de la « morale ». On pourra justifier de la sorte un système où la richesse des spéculateurs est payée par la détresse de ceux qui travaillent, les cités en béton et les campagnes désertifiées. L’habileté du système, il faut le reconnaître, a été de compenser l’assèchement de la vie personnelle et l’évaporation des solidarités communautaires par de la consommation, de la bureaucratie, des spectacles et du sexe.
A la façon d’une énorme machine à déboiser, le système ne laisse subsister en Europe que la coquille vide d’Etats ayant abdiqué une large part de leur souveraineté devant le pouvoir planétaire de prédateurs financiers. Des nations elles-mêmes il n’est plus question, ni des trésors dont elles étaient les gardiennes, ni de la protection qu’elles accordaient à leurs nationaux désormais exposés sans l’avoir désiré aux oukases des eurocrates, à l’inquisition de juges étrangers, à l’invasion de produits manufacturés exotiques à très bon marché, sans parler d’autres invasions plus lourdes de conséquences encore. S’étend de la sorte un paysage de sociétés éclatées au sein desquelles ont été largement abolies les règles communes de civilités, où les pères ne sont plus tout à fait des pères et les femmes plus toujours des femmes, où l’on fabrique dès l’enfance des être inaptes à l’effort, égoïstes et capricieux. L’effondrement général n’étant provisoirement contenu que par les antidépresseurs et le pouvoir incertain du bureaucrate, du psychologue, du juge et du policier. (…)
Le meilleur des mondes et « 1984 »
Durant le premier tiers du XXe siècle, plusieurs écrivains et philosophes s’étaient efforcés d’imaginer ce que serait l’avenir d’un monde entièrement dominé par la rationalité, l’impératif économique et le nihilisme, c’est-à-dire la soumission à l’utilitaire et aux pulsions inférieures du désir et de l’ambition personnelle. L’un des auteurs les plus perspicaces fut Aldous Huxley. En 1932 il publia Le meilleur des mondes, roman d’anticipation qui se passe vers l’an 2500 de notre ère. L’auteur pensait donc anticiper de cinq ou six siècles l’évolution de l’économie, des sciences et de la société. Erreur ! (…) Dans l’ère du Meilleur des mondes, on comptait les années à partir de Ford, l’inventeur de la société de consommation. (…) La planète du Meilleur des Mondes es gouvernée par une oligarchie. la technique règne, l’ordre aussi. De grands progrès ont été réalisés grâce à la génétique. La famille a disparu. La reproduction s’effectue par clonage. la sexualité n’est plus qu’un jeu, mais sa fonction est de première grandeur. Une licence sexuelle débridée dompte les mâles et apporte des compensations à la disparition des autres libertés.
Simultanément, le système cultive l’horreur de la beauté et de la gratuité. Les enfants apprennent à détester les livres et les fleurs. Rien de plus sage. Les livres pourraient éveiller l’esprit critique, et l’amour de la nature ne favorise pas la consommation de marchandises. Comme il faut tout prévoir, en cas de défaillance, on prescrit un tranquillisant, le « soma ».
Une quinzaine d’années après Huxley, George Orwell publia une anticipation également célèbre, 1984, visiblement inspirée par le modèle communiste. Mais ce qu’il décrivait s’appliquait aussi à l’évolution des sociétés libérales. La surveillance universelle exercée par Big Brother pour renseigner la police de la pensée, on la voit désormais à l’œuvre avec ses « observatoires » spécialisés et la délation encouragée. Quatre grands ministères dominaient la société de 1984, ceux de la vérité, de la paix, de l’amour et de l’abondance. Ces ministères du mensonge, on les voit aussi proliférer sous des appellations empruntées à la publicité. (…)
Les ruptures de Mai 68
Evènements fascinants et révélateurs que ceux de Mai 68 ! On avait vu l’Etat, si féroce et arrogant quelques années plus tôt à l’encontre des Français d’Algérie, abdiquer piteusement devant une bande de chahuteurs enflée d’heure en heure par des succès qui devaient plus à la débandade générale de toute autorité qu’à sa force propre. Pourquoi cette connivence entre la société et sa contestation ? Une réponse à cette question permettrait d’avancer dans l’interprétation de l’époque.
Tout n’était pas négatif dans ce mouvement qui secouait nombre de cocotiers et pratiquait l’irrespect de façon réjouissante. la contestation ne fut pas cependant ce qu’elle semblait être. Les apparences étaient trompeuses. Elles laissaient supposer aux conservateurs que le marxisme livrait un nouvel assaut contre « notre monde ». Ceux qui le pensaient n’avaient pas pris garde que « notre monde » n’existait plus, sinon dans leurs illusions. Le nez sur l’évènement, ils n’avaient pas identifié la complicité intime qui unissait le marxisme et la société occidentale développée, ce que les suites de 1968 allaient montrer.
L’évènement qui avait secoué la torpeur française était la manifestation locale d’un phénomène qui affectait l’ensemble du monde de l’économie libérale (…).
La contestation avait commencé dans les universités américaines et, comme une traînée de poudre, avait gagné toute l’Europe de l’Ouest (…). Il se trouvait parfois un ministre de l’Intérieur à l’ancienne mode pour dénoncer un complot international et déceler « la main de Moscou » (…) derrière les cortèges hurlants ou les attentats. Et sans doute les rivalités entre puissances de l’Est et de l’Ouest ont-elles contribué à jeter ici ou là quelques brandons sur l’herbe sèche. mais expliquer ce qui se passait comme l’effet d’une vaste subversion avec quelque part un chef d’orchestre caché relevait du fantasme et du simplisme.
Les années de guerre froide avaient contribué à installer dans les esprits ce schéma réducteur. En accréditant le mythe du « monde libre » face à l’univers de la tyrannie communiste, l’époque avait enraciné cette idée que si le « monde libre » était souvent peu défendable, cela ne tenait pas à sa nature, à la nature de la société libérale, mais à sa pénétration par la « subversion ». Ce en quoi on se trompait. Plutôt que de s’évertuer à dépister les idées ou les agents de la « subversion » et à dénoncer l’influence pernicieuse de Karl Marx, on eut fortement gagné à lire celui-ci puisque, dans Le Manifeste du Parti Communiste publié en 1848, il avait pris la peine de décrire les maux qu’à tort on attribuait à ses disciples :
 » La bourgeoisie (…) ne peut exister sans révolutionner constamment les instruments de production, ce qui veut dire les conditions de la production, c’est-à-dire les rapports sociaux… Ce bouleversement continuel de la production, ce constant ébranlement de tout le système social, cette agitation et cette insécurité perpétuelle distinguent l’époque bourgeoise de toutes les précédentes… Tout ce qui avait solidité et permanence s’en va en fumée, tout ce qui était sacré est profané, et les hommes sont forcés enfin d’envisager leurs conditions d’existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés… »
Tableau toujours actuel cent cinquante ans après. A cette différence qu’à l’époque où fut rédigé le Manifeste de 1848 subsistaient encore des traces de l’ancien monde européen (…) alors que cent cinquante ans plus tard, il n’en restait plus grand-chose sinon dans les livres d’histoire.
Karl Marx naturellement, se réjouissait de cette destruction de la société européenne traditionnelle. Elle annonçait pour lui l’avènement ultérieur de la société post-bourgeoise espérée, de la société communiste, le matérialisme radical, l’homogénéisation mondiale et la fin de l’histoire. Il ne se trompait pas de beaucoup. Ce qu’il appelait de ses vœux s’est bel et bien réalisé en partie, en partie seulement. (…) La grande révolution qu’il décrivait et qu’il annonçait n’avait pas été l’effet de la seule « bourgeoisie », mais plus encore de l’univers de la rationalité et de la technique dans son ensemble quand il a triomphé de « notre monde » après 1918.
Avec plus d’acuité que Marx, dans son essai intitulé Le travailleur (1932), Ernst Jünger avait instruit le procès d’une société incarnée à ses yeux par la France issue de 1789. Opinion partagée par Bernanos (…).
Après 1968, pour actualiser le propos, il aurait fallu parler de société « bourgeoise-socialiste », siège de cet hybride dominant de la cosmocratie européenne qu’est le « libéral-socialisme ».
Loin d’être un danger pour ce système, la contestation soixante-huitarde en fut l’accomplissement. Elle a aidé à détruire dans les mœurs et jusque dans le Droit tout ce qui pouvait encore freiner son expansion, tout ce qui subsistait des formes traditionnelles de « notre monde », accélérant de façon foudroyante le processus de « marchandisation » des hommes, de destruction des identités, des désintégrations des liens communautaires et de manipulation de la nature. Il est frappant de voir à quel point les ex-contestataires de 1968, une fois libérés de leur phraséologie révolutionnaire, sont devenus les employés dociles et les profiteurs avides du système de consommation occidental. L’erreur de ces jeunes gens au temps de leur jeunesse avait été d’identifier au capitalisme les façons d’être traditionnelles qu’ils haïssaient. Ils avaient été de bien mauvais lecteurs de Karl Marx. Ils n’avaient pas compris que la société capitaliste avancée avait un pouvoir destructeur bien supérieur à celui des rhéteurs de la contestation. Quand ils eurent découvert que le monde libéral travaillait dans la même direction qu’eux, mais avec des moyens finalement beaucoup plus efficaces et agréables que ceux de l’ascétisme révolutionnaire, ils ne demandèrent qu’à se rallier. Loin de nuire à la société marchande, la contestation soixante-huitarde avait contribué à faire sauter les derniers obstacles limitant ses débordements.
Ce sont choses oubliées aujourd’hui, balayées par d’autres événements et par les retournements ultérieurs d’innombrables intellectuels. L’écrivain Romain Gary, gaulliste de gauche qui fut pendant dix-huit mois conseiller du ministre de l’Information, rappelait peu après les journées de mai 1968 l’extraordinaire concours apporté par la Télévision nationale à l’imprégnation gauchiste, dont la Chine maoïste était alors l’un des modèles : « Lorsqu’à Pékin, écrivait-il, une actrice de cinéma, la tête rasée par les Gardes Rouges, se suicidait en se jetant du septième étage, c’est tout juste si notre Télévision ne soulignait pas le côté « positif » de cette horreur  : la preuve que la Chine de Mao avait donné au peuple des immeubles de sept étages ».
Sous l’éclairage des évènements de 1968, il était facile de voir que la classe dirigeante occidentale tolérait avec sympathie l’effervescence contestataire tant qu’on ne brûlait pas ses automobiles dans les beaux quartiers. Libéralisme et marxisme se heurtaient sur les moyens, pas vraiment sur les fins. Avec l’accord tacite des cénacles dirigeants, la vulgate marxiste et ses dérivés avaient acquis le statut d’idéologie dominante, ne rencontrant d’autre opposition que celle d’une poignée d’irréductibles dont certains s’étaient repliés sur la ligne littéraire de la désinvolture hussarde.
Dominique Venner,
Extrait de Le Siècle de 1914 (2006)

J’ai légèrement édité le texte.
L’article original se trouve là: