Capture d’écran du site L’entente.net.
Un
article publié il y a quelques semaines sur le site « L’entente.net »
illustre très adéquatement le climat orwellien qui se développe dans notre
pays, année après année.
Dans cet article, que vous pouvez lire ici,
le ou les auteurs se livrent à un véritable exercice de
délation extrêmement significatif. L’article en question poursuit en
effet un unique objectif : recenser méthodiquement les noms et fonctions des
militants, candidats et élus du Front National partageant explicitement
les idées de la Dissidence Française sur les réseaux sociaux.
La visée quasi-exhaustive de l’article,
agrémenté de nombreuses captures d’écran sensée établir ses affirmations,
s’apparente clairement à un travail policier. On notera d’ailleurs l’anonymat
nébuleux derrière lequel se cachent les auteurs de cet article et les
administrateurs de ce site, exclusivement consacrée à la déstabilisation du
Front National.
Quel est le but poursuivi
par cet article ? Il est double : il s’agit d’abord de fournir des
« munitions » aux journalistes du Système (pléonasme)
afin de générer de nouvelles polémiques et lancer des opérations de
déstabilisation du Front National qui devra, une nouvelle fois,
opérer de nouvelles purges, fragilisant encore davantage son appareil
militant. Par ailleurs, il s’agit d’isoler la Dissidence Française des circuits
politiques « institutionnels », permettant ainsi de limiter notre
travail d’influence idéologique et de marginaliser notre discours.
Ces vieilles méthodes déjà éprouvées sont
bien connues de notre milieu et porte la marque typique de la collusion entre
les services de renseignement intérieur et les
cellules maçonnico-antifascistes qui apparaissent périodiquement sous des
appellations différentes mais en usant toujours des mêmes méthodes.
Des méthodes qui
s’apparentent, toutes proportions gardées, à celles de la Stasi (terme qui
désignait la police politique chargée de traquer les dissidents et qui
sévissait en RDA jusqu’à la chute du Mur de Berlin), et dont les modes
d’action inspirent toujours les polices politiques du soft-totalitarism occidental.
Voyez plutôt :
«
Le but de la décomposition est la fragmentation, la paralysie, la
désorganisation et l’isolement des forces hostiles et négatives, afin
d’empêcher par là, de manière préventive, les agissements hostiles et négatifs,
de les limiter en grande partie ou de les éviter totalement, et le cas échéant
de préparer le terrain à un rétablissement politique et idéologique.
(…) Les forces principales de la mise en œuvre des décompositions sont les
collaborateurs officieux. »
Extrait
du Dictionnaire du travail politique et opérationnel de la Stasi
«
Décomposition : dégradation systématique de la réputation, de l’image et du
prestige sur la base de données d’une part vraies, vérifiables et dégradantes,
et d’autre part fausses, vraisemblables, irréfutables et toujours dégradantes ;
organisation systématique d’échecs professionnels et sociaux pour démolir la
confiance en soi de l’individu ; […] stimulation des doutes relatifs aux
perspectives d’avenir ; stimulation de la méfiance et du soupçon mutuel au sein
des groupes. »
Stasi
– Directive 1/76 de janv. 1976
La mobilisation de tels stratagèmes
témoigne de l’influence grandissante de la Dissidence Française et des efforts
du Système pour la limiter. Il est évident que ces efforts sont vains.
Notre Mouvement poursuivra son
développement et, tôt ou tard, n’oubliera pas de rappeler à ces
« détracteurs » une vérité simple : toute action entraine une
réaction.
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