samedi 20 décembre 2014

Un pur moment d’ignominie (rappel)

Depuis des décennies, notre pays – comme tant d’autres – est gouverné par des individus dont les préoccupations principales sont de s’enrichir en pillant ce qui peut l’être encore, d’accaparer et de partager le pouvoir entre droite modérée et fausse gauche, de démanteler et de brader le peu de service public restant, de se soumettre aux diktats de ce qu’il est pudiquement convenu d’appeler « la finance internationale » et d’attirer sans cesse de plus en plus de nos citoyens vers plus de pauvreté et de précarité. Le mépris que cette hyper classe politique affiche envers le pays, la nation et le peuple n’est plus à démontrer. Le fait qu’ils mentent comme ils respirent non plus. Ce qui est encore plus grave, c’est que ces sinistres individus nous décrédibilisent et nous font honte sur le plan international. Ainsi, l’appel au meurtre de Bachar el-Assad  par un certain Fabius, ministre des affaires étrangères en exercice, le 17 août 2012, restera une tache indélébile sur le bilan déjà bien piteux de Hollande, le président destiné à rejoindre les poubelles de l’histoire.

La vidéo accablante est là :

Pour continuer, je citerai un extrait d’article d’Alain Benajam intitulé : Lettre ouverte aux apprentis sorciers de la fausse gauche et des politico-medias

« Qui appelle au meurtre ? Soral, Dieudonné ? Ou Fabius, qui a publiquement et hystériquement appelé à l’assassinat d’un chef d’état ? Le poids de cette ignominie sans nom pèse déjà bien plus lourd que la « quenelle » de Soral au mémorial juif ou de quelques autres rigolos devant des synagogues.                                                                                          

Il n’est pas difficile de choisir son camp, même si dans celui-là se trouve quelques individus peu fréquentables, mais ce n’est qu’une minorité, dans l’autre camp se trouvent des assassins, des criminels, des traitres, dont la place se situerait en prison s’il y avait la moindre justice. »

L’article en intégralité se trouve là :



Et pour finir, je citerai Allain Jules dans un article d’avril 2013 intitulé : Refugiés : les « qui » Fabius avait rencontré pour appeler au meurtre de Bachar el-Assad ?

“Toute honte bue, sans vergogne donc, le ministre français des Affaires étrangères, en toute impunité, avait appelé au meurtre d’un chef d’Etat d’un pays souverain, la Syrie, sans que ça n’inquiète personne. Nous étions en août 2012. Ce jour-là, à la frontière turco-syrienne devant des journalistes français, il avait dit: « Je suis conscient de la force de ce que je suis en train de dire : Mr Bachar el-Assad ne mériterait pas d’être sur la Terre ». Bien sûr, l’homme du sang contaminé, après avoir obtenu son diplôme honoris causa en indignation sélective mais surtout mensongère, avait oublié les hémophiles qui doivent penser la même chose de lui. Passons.”

L’article à lire là :


Je ne sais encore quel parasite politique sortira quelque chose d’aussi bas, d’aussi abject, d’aussi immonde dans l’avenir  – il faut avouer que ce sera difficile – mais une chose est sûre, Fabius, comme tous les voleurs, menteurs et assassins, aura à répondre de ses paroles et de ses actes. Tôt ou tard.








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