jeudi 19 novembre 2015

La faiblesse de l’occident

Un article signé Claude Bourrinet

Vu sur le blogue d’ Alain Benajam

Extrait :
« Si l'émotion est une réaction humaine, la pensée l'est aussi. Si la première se manifeste dans l'immédiateté et la sensibilité, la seconde répugne à se mêler d'affectivité. Or, ce qu'il est convenu d'appeler la « toile » véhicule un vaste réseau mouvant et effervescent de réactions pathétiques. Dans la société de masse où nous nous situons, où les cloisons qui délimitaient les domaines d'expression de l'humain ont sauté, elles valent comme pensées. Je souffre, je suis anxieux, je hurle, je hais, j'adore, donc je cogite, donc le suis. »
L’article en entier se trouve là :



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