19 juin 2015
Source:
http://www.lelibrepenseur.org/conference-de-pierre-dortiguier-ces-2627-juin-a-perpignan/
jeudi 18 juin 2015
mercredi 17 juin 2015
La dette grecque est illégale, illégitime et odieuse selon le rapport préliminaire du comité sur la dette
Un article du site Les Crises
Jeudi 18 juin 2015
Les preuves présentées dans le rapport indiqueraient que la dette issue des plans d’austérité est une violation directe des droits fondamentaux de l’homme. Le comité serait arrivé à la conclusion que la Grèce ne devrait pas payer cette dette parce qu’elle est illégale, illégitime et odieuse.
L’article complet se trouve là:
http://www.les-crises.fr/la-dette-grecque-est-illegale-illegitime-et-odieuse-selon-le-rapport-preliminaire-du-comite-sur-la-dette/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+les-crises-fr+%28Les-Crises.fr%29
Jeudi 18 juin 2015
Les preuves présentées dans le rapport indiqueraient que la dette issue des plans d’austérité est une violation directe des droits fondamentaux de l’homme. Le comité serait arrivé à la conclusion que la Grèce ne devrait pas payer cette dette parce qu’elle est illégale, illégitime et odieuse.
L’article complet se trouve là:
http://www.les-crises.fr/la-dette-grecque-est-illegale-illegitime-et-odieuse-selon-le-rapport-preliminaire-du-comite-sur-la-dette/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+les-crises-fr+%28Les-Crises.fr%29
L'Échelle de Jacob: Immigration : C'était apocalyptique !
L'Échelle de Jacob: Immigration : C'était apocalyptique !: "C'était apocalyptique", a jugé une source syndicale policière, estimant le nombre de ces migrants à "500, 600, v...
dimanche 14 juin 2015
Bouddhanar: René Guénon et Alain Daniélou
Bouddhanar: René Guénon et Alain Daniélou: « Dans le monde moderne où les voies de la transmission normale de la connaissance ésotérique sont fermées pour la plupart, les livres j...
François Hollande en Algérie : entre realpolitik et auto humiliation
Un article provenant du Blog de Bernard Lugan
Lundi 15
juin, durant quelques heures, François Hollande sera en Algérie, pays en état
de pré-faillite, "dirigé" par un président moribond et gouverné par
l' "alliance des baïonnettes et des coffres-forts"[1].
L'Algérie
est en effet au bord du précipice économique, politique, social et moral. Elle
est dévastée par des avalanches successives de scandales comme ceux des
détournements de fonds du programme de l'autoroute trans-algérienne (5 milliards
de dollars de dessous de table pour un chantier de 17 milliards...), de la
Sonatrach ou encore de la banque Khalifa; or, il ne s'agit là que des plus
médiatisés.
L’équilibre
politique algérien repose sur un modus vivendi entre plusieurs
clans régionaux et politiques qui se partagent les fruits du pouvoir au sein
des deux piliers de l’Etat qui sont l’ANP (Armée nationale populaire) et la DRS
(Département du renseignement et de la sécurité). Quant à l'ordre social
national, il résulte d'un singulier consensus :
-
à l'intérieur, les dirigeants qui vivent de la corruption et des trafics
en tous genres achètent le silence d'une population qui n'ignore rien de leurs
agissements, par de multiples subventions,
-
à l'extérieur, ils entretiennent des mercenaires, journalistes et hommes
politiques stipendiés, qui font fonctionner d'efficaces réseaux de
communication permettant de donner une image rassurante du pays.
Or,
ce système qui fonctionnait grâce à la rente pétrogazière est aujourd'hui
bloqué par l'effondrement des cours du pétrole. En un an, le prix du Sahara
blend algérien est ainsi passé de 110 dollars le baril à moins
de 60; or, selon le FMI ( mai 2015), dans l'état actuel de l'économie de
l'Algérie, le prix d'équilibre budgétaire de son pétrole devrait être de 111
dollars le baril.
Résultat:
au premier trimestre 2015, les recettes cumulées du budget de l'Etat ont
baissé de 13% par rapport à la même période de 2014; quant aux recettes de la
fiscalité pétrolière, leur recul fut de 28%. Dans ces conditions, les 200
milliards de dollars de réserves de change dont disposait l'Algérie avant la
chute des cours du pétrole fondent comme neige au soleil et le Fonds de
régulation des recettes (FRR) alimenté par les ventes des hydrocarbures et dans
lequel l'Etat puise pour tenter de prolonger la paix sociale n'est plus
alimenté.
La
situation est donc gravissime[2]. D'autant plus que les parts de marché de
la Sonatrach en Europe vont baisser en raison de la
concurrence de Gazprom qui fournit le gaz russe entre 10 à 15%
moins cher que celui produit par l'Algérie. Sans compter que depuis 2014,
devenu autonome grâce à ses gisements non conventionnels, le client américain
qui représentait entre 30 et 35% des recettes de la Sonatrach a
disparu...
Autre
phénomène angoissant pour les autorités algériennes, le prix du gaz naturel
liquéfié lié au prix du pétrole et des produits raffinés va de plus en plus
être aligné sur le prix du gaz naturel américain, ce qui, selon les experts
devrait mettre le GNL algérien entre 30 et 40% de ses prix antérieurs.
L'Algérie est donc bien au bord du précipice.
Dans
ces conditions, face au double phénomène de baisse de la production et de
baisse des cours, l'Etat-providence algérien est condamné à prendre des mesures
impopulaires: suspension des recrutements de fonctionnaires, abandon de projets
sociaux indispensables, de projets transport comme de nouvelles lignes de
tramway ou la réfection de voies ferrées. Il est également condamné à
rétablir les licences d'importation afin de limiter les achats à l'étranger, ce
qui va encore amplifier les trafics. Le coût des produits importés n'est en
effet plus supportable; d'autant que, même les productions traditionnelles
(dattes, oranges, semoule pour le couscous) étant insuffisantes, leur volume
d'importation est toujours en augmentation. Pour ce qui est des seuls
biens de consommation, la facture est ainsi passée de 10 milliards de dollars
en 2000 à une prévision de plus de 65 milliards de dollars pour 2015. Quant aux
subventions et aux transferts sociaux, ils atteignent 70 milliards de dollars
par an, soit environ 30% du PIB.
L'Algérie
va donc devoir procéder à des choix économiquement vitaux mais politiquement
explosifs. Le matelas de 80 milliards de dollars de son fonds de régulation
(FFR) et ses réserves de change qui étaient tombées à un peu plus de 180
milliards de dollars au mois de janvier 2015, ne lui permettront en effet de
faire face que durant deux années puisque les dépenses inscrites au budget 2015
sont de 100 milliards de dollars...
L'Algérie
est donc dans la nasse car, elle qui ne produit rien est pourtant condamnée à
continuer d'importer afin de nourrir, soigner et habiller sa population. Comme
dans les années 1980, l'explosion sociale semble donc inévitable. Avec en toile
de fond les incertitudes liées à la succession du président Bouteflika.
C'est
donc dans un pays en faillite dans lequel les islamistes sont en embuscade et
dont l'équilibre est vital pour notre sécurité, que se rend François Hollande,
porteur d'un singulier message rédigé par des associations dont la
représentativité prêterait à sourire si elles ne constituaient pas le noyau dur
de l'actuel régime français. Pour l'Association des anciens appelés en
Algérie et leurs amis contre la guerre (4ACG), pour l'Association
nationale des pieds-noirs progressistes et leurs amis (ANPNPA) et pour
l'Association des réfractaires non violents (ARNV) " le moment
est venu pour la France de reconnaître, du plus haut niveau politique (...) les
crimes et les horreurs commis pendant les 132 ans que dura la colonisation de
l'Algérie".
Au
mois de décembre 2012, lors de son précédent voyage à Alger, François Hollande
était déjà allé à Canossa mais, comme les Bourgeois de Calais, il avait tout de
même gardé sa chemise. La conservera-t-il aujourd'hui alors que, candidat aux
prochaines élections présidentielles, il est prêt à tout afin de tenter de
regagner les précieux suffrages des électeurs franco-algériens qui s'étaient
détournés de lui avec le « mariage pour tous »?
NB
: Les rentiers de l'indépendance qui forment le noyau dur du régime prélèvent,
à travers le ministère des anciens combattants, 6% du budget de l'Etat
algérien, soit plus que ceux des ministères de l'Agriculture (5%) et de la
Justice (2%)...
Bernard Lugan
14/06/2015
[1] L'expression est
d'Omar Benderra (Algeria-Watch, décembre 2014). En ligne.
[2] Pour plus de
détails, on se reportera au dossier contenu dans le numéro du mois de mars 2015
de l'Afrique réelle que l'on peut se procurer en s'abonnant à la
revue.
Source :
blog de Bernard Lugan
lundi 8 juin 2015
L'Échelle de Jacob: Wallz crée une force de propagande officielle zur ...
L'Échelle de Jacob: Wallz crée une force de propagande officielle zur ...: Alors que la Chine a déjà son « armée de l’ombre » depuis une dizaine d’années pour faire la contre-propagande sur le Web, Valls annon...
samedi 6 juin 2015
Bouddhanar: Franc-maçonnerie & corruption
Bouddhanar: Franc-maçonnerie & corruption: Le ver est dans le fruit « La maçonnerie, c’est l’Internationale de la combine ! » Michel Bakounine Q uelque chose ne tourn...
Inscription à :
Articles (Atom)